#mémoire des luttes
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anniversaires JOB 2011-2021
20 ans de la lutte pour la sauvegarde du bâtiment amiral, patrimoine et mémoire ouvrière
10 ans de la création du Collectif JOB et l’ouverture de l'Espace JOB
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Une femme a disparu
Anne -Sophie Stefanini nous entraîne à nouveau au Cameroun dans ce roman-confession qui éclaire son œuvre. Elle y raconte la découverte de ce pays, de l'amour et du combat militant.
En deux mots À 17 ans la narratrice participe à un programme d’échange et se rend deux mois au Cameroun. Son guide, Jean-Martial, va devenir son amant et le restera tout au long de ses séjours annuels. Jusqu’au jour où il disparaît comme cette femme, professeur et activiste politique, qui n’a plus jamais donné de nouvelles. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique Constance, Jean-Martial et la…
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#Adolescence#Amour#Cameroun#Disparition#Enlèvement#Enquête#Famille#Indépendance#liberté#lutte#manifestation#Mémoire#passé#professeure#Séparation#Université#vie de couple#Voyage#Yaoundé
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🏴☠️L’orgueilleuse devise des formations d’assaut italiennes durant la grande guerre : « Me ne frego » (Je m’en fous), écrite sur le pansement d’une blessure, n’est pas seulement une profession de philosophie stoïque et le résumé d’une doctrine purement politique : c’est l’entraînement à la lutte, l’acceptation des risques qu’elle comporte ; c’est un style nouveau de vie italienne. C’est accepter et aimer la vie, ignorer le suicide et y voir une lâcheté ; c’est comprendre la vie comme un devoir, une élévation, une conquête : la vie doit être haute et pleine : vécue pour elle-même, mais surtout pour les autres, proches et lointains, présents et futurs…
Le 15 juin 1918, le commandant Freguglia convoqua le capitaine Pietro Zaninelli et ordonna une attaque contre les Autrichiens retranchés à la " Casa Bianca " de Montello. Il était essentiel de conquérir le bâtiment mais, et le major l'a bien précisé, c'était une mission suicide. Zaninelli a répondu - et est-ce une légende ou une histoire ? Le courage et l'abnégation doivent être estimés : "Monsieur le commandant, je m'en fous (Me Ne Frego), faites ce que vous avez à faire pour le roi et la patrie".
Et c'est ce qu'il a fait, obtenant la médaille d'argent de la valeur militaire pour sa mémoire avec cette motivation : "Il a été mortellement blessé par une mitrailleuse ennemie à la tête de l'Arditi de sa compagnie, après les avoir menés à trois reprises à l'assaut d'une position ennemie au chant de l'hymne du bataillon"…
Via la cagoule 1937
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[Offre limitée] Téléchargez gratuitement mes deux romans sur Amazon ! 📚✨
Je suis ravi de vous offrir, pendant une durée limitée, l'accès gratuit à mes deux romans, L’Oubli et Quiltro. Ces récits, bien que différents, explorent les thèmes de l’identité, de la résilience et des liens humains face à l’adversité. 💔💡
📖 L’Oubli Un carnet, une histoire, un combat contre l’effacement de soi.
Lorsque Thomas commence à tenir un journal pour documenter son quotidien, il ne se doute pas que cela deviendra le miroir de sa lutte contre une maladie qui efface peu à peu sa mémoire et son identité. À travers les récits croisés de Thomas et Michelle, sa femme, L’Oubli explore la mémoire, l’amour face à l’épreuve, et le courage d’aimer malgré tout.
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📖 Quiltro Une plongée brute et poétique dans les marges de la société.
Suivez Azel, un jeune homme marqué par un passé violent, dans sa quête de rédemption et d’humanité dans un monde hostile. Quiltro explore les fractures de l’identité et la résilience face aux démons du passé. Un roman poignant qui éclaire la grâce dans les ténèbres.
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🙏 Un petit geste pour un auteur indépendant : Si ces histoires vous touchent, pensez à laisser un avis sur Amazon ou à partager avec vos proches. Chaque retour compte énormément pour moi. 💙
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— Les magies - l'Abyme
héritée du peuple de l'eau qui fut autrefois poissons, sirènes et tritons, l'Abyme est cette magie qui puise sa force dans le cycle des marées, l'eau et les immenses océans.
Par personnage : 3 capacités innées initiales, 1-2 caractéristiques physiques initiales et une voie au choix (comprenant elle-même 2/3 capacités innées, 2 capacités acquises et 1 capacité ultime.) Capacités innées propres à cette magie et possédées par toustes ces pratiquant.es : • capacité à respirer sous l'eau à l'aide de branchies apparaissant automatiquement une fois dans l'eau, • capacité à nager plus rapidement que d'autres peuples. • bien-être intense ressenti une fois totalement immergé.e Caractéristiques physiques possibles (1 obligatoire, 2 maximum.): • une fois dans l'eau, apparition de plusieurs écailles sur le corps, d'une couleur au choix, • cicatrices de branchies en permanence affichées dans le cou, • yeux d'une couleur inhabituelle et très claire, • une légère fragrance de sel ou d’algues qui les suit. La voie de l'élément
Capacités innées : • manipulation de l'eau lorsqu'il y en a à proximité, • soin mineur lorsqu'immergé.e dans l'eau à 80% (rend 20% de sa vie.)
Capacités acquises (deux au choix) : • création de lames aqueuses infligeant une hémorragie, • capacité à parler aux créatures marines, • capacité à créer un dôme de protection anti magie sur la terre ferme • transformation partielle en créature aquatique pour augmenter sa vitesse et sa force sous l’eau. • création d’un brouillard dense qui réduit la visibilité autour du mage. Capacité ultime (une au choix) : • L'Ivresse salée ; Un pouvoir qui permet d'absorber et de concentrer le sel contenu dans l'eau pour l'utiliser comme arme, créant des lames cristallines ou des pluies abrasives. • La Valse des Courants : Le mage crée une tempête aquatique mouvante, piégeant ses ennemis dans un tourbillon destructeur. La voie de la nacre :
Capacités innées : • capacité à générer des pansements d'eau pure pour lutter contre les brûlures et saignements • capacité à réaliser des sutures d'eau qui tiennent en place pendant maximum quatre jours (risque diminué d'infection)
Capacités acquises (deux au choix) : • capacité à avoir un toucher guérisseur • capacité à déployer un fil d'eau dans le corps d'un blessé pour analyser ses blessures • capacité à mettre en stase magique dans un cocon d'eau pour plusieurs années (peut être défait par son lanceur ou pas un sort de feu)
Capacité ultime (une au choix) : • Les Marées Charnelles ; Le mage peut manipuler l'eau présente dans le corps d'un être vivant, augmentant ou réduisant sa circulation pour le guérir... ou le blesser. • L'Étreinte des Profondeurs ; Ce pouvoir permet d'envelopper un ennemi dans une sphère d'eau, coupant son accès à l'air et manipulant la gravité pour l'immobiliser. Plus l'adversaire lutte, plus l'eau devient dense. La voie des brumes :
Capacités innées : • peut créer une fine brume pour se dissimuler ou troubler la vision de ses ennemis. • capacité à entendre de plus loin que la moyenne - majorée dans la brume.
Capacités acquises (deux au choix) : • capacité à charmer temporairement une créature marine grâce au Chant. • capacité à amplifier une émotion chez l'autre. • création d’un clone aqueux pour tromper les ennemis. • capacité à contrôler la densité de la brume pour ralentir ou étouffer les ennemis. • utilisation de la brume pour altérer les sons (les amplifier ou les masquer).
Capacité ultime (une au choix) : • La Mémoire des Flots ; L'eau a la capacité de "se souvenir" des événements qui se sont déroulés à proximité d'elle. Ce pouvoir permet de lire des souvenirs gravés dans les rivières, les océans ou même les larmes. • La Voix de la Sirène ; Un chant hypnotique qui contrôle les émotions ou manipule la volonté des auditeurs. L'intensité varie : apaisement, tristesse, ou même rage incontrôlable.
#baldur's gate 3#forum rpg#forumactif#forumrpg#french rpg#projet forum#rpg french#rpg#rpg francophone#the witcher
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Malgré le problème que représente mon existence, et malgré le fait que j'aurais peut-être préféré n'avoir jamais eu à les écrire, je suis fier de toutes ces pensées écrites. Je les parcours, un sentiment chaud, doux et familier me parcourt, me monte à l'âme, et au fond de cette solitude, comme une île perdue dans un univers inconnu, je sens que je me réconcilie, si non avec le monde, du moins avec moi-même, et le monde que mon existence elle-même représente. Ce sentiment poétique, qui hante tous les mélancoliques de la terre, est à la fois notre malédiction et notre salut. Ce que je retiens de toutes ces années d'introspection, de lutte contre et pour la vie, souvent en vain, c'est que le souvenir de soi constitue une étrange et intarissable joie. Dans le tumulte que représente la vie présente, quotidienne, horriblement ennuyeuse, la mémoire dans ce ciel noir agit comme un phare dans lequel il est toujours possible de se réfugier et se retrouver soi, intact, pur, beau. Et ce regard jeté sur tout ce qu'on a été cultive en nous un sentiment agréable du moi. Autour du feu intime, on se réchauffe, on se contemple, et la poésie est en marche. Tout, dans cette contemplation, est sublimé. L'alcool a ce terrible avantage de faire de cette communion intime avec un monde poétique un état partagé. Une solitude à deux. Il est ainsi possible de délirer à deux, d'être ensemble au-delà de la vie. Chose qui est généralement impossible sobre. Émotion, c'est cela qu'il faut chérir. Poésie, musique, art, mémoire et ses souvenirs, émotion en somme.
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"Le Duce avait toujours professé des idées saines, réalistes. Par sa bouche, le fascisme s’opposait à la lutte des classes, fondait les classes sociales en une seule réalité économique et morale. Il optait pour la qualité contre la quantité, il refoulait le dogme démocratique qui assimilait le peuple au plus grand nombre d’individus et le rabaissait à ce niveau. Au lieu de berner l’électeur par l’octroi de droits illusoires, il l’aidait à accomplir un devoir. Il disait que la liberté abstraite n’existait pas, mais qu’il fallait conserver des libertés précieuses. Il affirmait l’inégalité irrémédiable, mais bienfaisante et féconde, des hommes qui ne peuvent devenir égaux par un fait mécanique et extrinsèque tel que le suffrage universel."
Lucien Rebatet, Les Mémoires d’un fasciste II (1976)
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Je n'étais qu'une enfant (poésie écrite à l'occasion de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation) Je n'étais qu'une enfant quand ils m’ont dérobé La lueur dans mes yeux. L’ombre m'a enrobée. Vous, hommes habitant les terres canadiennes, Sachez qu'auparavant elles étaient les miennes! Pensez à mon peuple quand le sol québécois Taché de notre sang vous offre blé et bois. Vous parlez du bonheur d'antan et moi j'entends Un chant du cygne dans mon cœur indépendant. Dans l'école résidentielle, on m’a coupée De culture et tribu. L’Histoire est leur épée. Ils m’ont dit: « Obéis et tu iras au ciel! » Avec mes cheveux longs, ils m’ont coupé les ailes. Mes camarades aux deux esprits, malaimés, Dans un placard obscur ils les ont enfermés. Ils aiment leur prochain, leurs prochaines victimes, Ces « chr��tiens » dont le Christ est à tort éponyme. Occidentaux, partez! Ne versez pas de larmes En baissant le regard et les bras, pas les armes. Mes sœurs sur la route seize, Joyce Echaquan Et mes ancêtres dans leur tombe vous condamnent. Le racisme et l'injustice, main dans la main, Aiguisent leur lame aux marées hautes sans frein. En toussant, est craché mon pus comme mes frères Par les blancs, écume croyant boire la mer. Ce pays plongé dans l’ordre et loi du silence, Je n’ai que l’oreille du gouffre des souffrances. Sans connaître ma langue, est étouffée ma voix; Sans pow-wow, je prie mais en la vie seule ai foi.
Mort, ne me retiens plus! Moi, je garde en mémoire Que je suis née pour la lutte, pour la victoire. Ma nation est une armée de survivants N’abandonnant ni ses enfants, ni ses parents. Ma mère, guerrière, est brave et réconforte. Devant elle, quelle Amazone est assez forte? Agile comme un cerf, rusée comme un renard, Puissante comme un ours, la chasse est son grand art. Sur mon père noyant dans l'alcool son chagrin Se posera, telle la rosée du matin, Un nouvel avenir. Quoi, il pleuvra des cordes? C’est pour qu’aigle et tortue y grimpent sans discorde. Des cordes, des planches... Combien en faut-il pour Construire un pont vers le pardon et vrai amour? Le soleil d’un totem se lèvera un jour Sur tous, qu’ils turluttent ou frappent un tambour. Alors, nos corps et cœurs dansant au même rythme, Dans le cercle sacré se rejoindront nos rites. Nous partagerons le calumet de la paix, Québécois d’icitte et d’ailleurs, dans le respect.
#truth and reconciliation#every child matters#indigenous solidarity#violence against women#residential schools#indigenous peoples#indigenous culture#indigenous rights#indigenous languages#indigenous history#first nations#native american#indigenous lives matter#indigenous liberation#political poetry#political poem#political art
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Avant le pèlerinage (Première partie)
Réconcilier foi et identité
Sommaire :
• Publicité contre réalité • Foi, identité, Église • Séparation • Réformer notre mode de vie • Les padres de la palabre • Vive le prolétariat chrétien
La croissance du nombre d’inscrits au pèlerinage de Chartres s’explique par les concessions libérales que l’association Notre-Dame de Chrétienté fait au modernisme, et se paiera par une dégradation liturgique puis par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l’ascèse d’un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. « Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année ! C’est le grand retour de la chrétienté ! » exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et les déplaceurs de pions sur carte d’état-major. Non pas. C’est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l’extérieur par le monde, très affadie de l’intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pèlerinage traditionnel ? Les JMJ.
Il suffit d’examiner assez longtemps ce que l’on voit dans le présent pour en tirer des enseignements sur l’avenir. Le monde peut se lire. L’apparence, la forme, la surface, sont les expressions de vérités profondes. Par exemple, la crétinisation de l’école se mesure plus sûrement à l’effondrement de l’apparence vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires à la fin de l’année. Si l’on croit que le terme professeur est adéquat pour qualifier une dame extravertie en surpoids habillée en jean et en n’importe quoi, c’est que tout est fichu et que les mots n’ont plus de rapport avec les actes.
En matière de pèlerinage de Chartres, la forme, avec le temps, depuis le temps (41 ans !) devrait se diriger chaque année vers davantage de tenue, de tradition, vers davantage de savoir-faire, vers davantage d’affermissement sur ses bases… mais elle va vers moins de tradition, moins d’énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l’on voit. Que voit-on ?
Nous attendons cela. Mais nous recevons ça.
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Le pèlerinage de Chartres est une procession solennelle de la chrétienté héritée du haut Moyen Âge. Il est devenu depuis quelques années, à force de conduite pépère le « pèlé de Pentecôte », c’est-à-dire un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières chez mémé en combishort Coachella qui marchent devant des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, qui eux marchent derrière. Trois journées mondaines « sympas » pour lycéens qui s’ennuient, pour les Versaillais qui disent « wesh », pour les instagrameuses en quête d’une « expérience ».
La tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa culture, au niveau d’un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n’ira plus à l’église.
Assez d’analyse dépassionnée « avec du recul », et de cette intelligence de resquilleur « plus intelligent que cela » au vocabulaire de statisticien de l’OCDE. En matière de religion, les standards de la vie religieuse pratique sont le seul sens du sacré, la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable : le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la beauté de la musique, l’usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d’une forme aux soubassements plus profonds, invisibles et sacrés, comme la cathédrale de Chartres bâtie sur des kilomètres de galeries souterraines en partie inconnues. Abaissez vos standards culturels, vous profanez votre religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa culture fuit dans l’abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les seules frontières qui le protègent de l’égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
« Chacun fait ce qu’il veut » signifie chacun pour soi, signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu’il veut est un slogan de gauche produit par l’oligarchie de l’extrême droite financière anti-Blancs, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles : « Diviser pour régner » et « L’ordre par le chaos ».
Qu’est ce qui a perdu les Arabes ? Le sucre (lire l’explorateur Thesiger). Qu’est-ce qui a perdu les Blancs ? Le fun. C’est à dire l’anti-sobriété, le pas-sérieux, la mondanité, le cabotinage, l’alcool, la satiété, la médiocrité des standards de vie, la radinerie, la mesquinerie, la gynolâtrie, l’impiété, la déloyauté et la délation, le friendzoning.
Ce pèlerinage, qui devait être le cœur inviolable d’une micro-chrétienté fertile en naissances s’étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle très ouvert et détendu de tous les dégazages de fonds de cuve du monde. Nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
Foi, identité, Église
Foi et identité sont le père et la mère des enfants français enlevés à leur famille par la Gueuse et remis aux Thénardier. Le couple Thénardier, au sens littéral menteur et arracheur de dents, fut inventé par Victor Hugo dans Les Misérables, peut-être comme le symbole d’autre chose, d’autres gens, comme souvent dans les romans à clé.
La foi sans l’identité donne le catho de gauche et tout ce que Chesterton nommait idées chrétiennes devenues folles. L’identité sans la foi donne l’extrême droite bourgeoise et sa compétence si connue qu’elle n’est plus à démontrer. La foi, c’est la fidélité religieuse, et l’identité, c’est la loyauté nationale, c’est père et mère, c’est ciel et terre. Tous les ennuis de la France dès le XVIIIe siècle ont augmenté à mesure de l’avancée de l’irréligion et tous les ennuis de la religion chrétienne dès les années 1960 sont advenus à la faveur de l’avènement d’une bourgeoisie libérale-libertaire antinationale.
L’Église est une Hiératique, c’est-à-dire un ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l’expérience, c’est-à-dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux. Naissance, mariage, mort, et jusqu’aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pour quoi faire ? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l’autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler. L’ordre garantit la paix sociale et « la paix, c’est la tranquillité de l’ordre », dit Aristote. Qui méprise cette antique maxime condamne lui-même son entourage au bordel, au dérisoire, au fun, à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en « Nicolas, 30 ans ».
L’Église est une armée spirituelle qui ose dire aux soldats des deux sexes ce qu’ils doivent manger, comment ils doivent s’habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. C’est écrit dans l’Évangile et les textes du Magistère. On connait à l’opposé les fruits pourris de l’arbre de la liberté lorsque celle-ci est comprise au sens du libéralisme politique. On comprend par ricochet la sagesse d’une discipline qui forme l’homme au combat de la vie. Cette armée n’enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l’Église ne nous poursuit pas de ses oukases, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu’elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d’autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d’échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Séparation
La maladie dont nous crevons, c’est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d’immigration. Le point nodal de tous les remèdes, c’est la génération endogame séparée du monde, c’est-à-dire la sainteté, étymologiquement la « séparation », considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l’autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C’est ainsi que vivaient les terroirs français. C’est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-Américains, et tant d’autres formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l’on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale, c’est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti pris d’existence grégaire, par une forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un esprit de cette forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd’hui un millier de Blancs à Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
La religion est le seul moyen de peuplement bio qu’ont les Blancs hors du néofascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l’irréligion. En cas de doute, on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l’a fait Patrick Buisson durant les 10 dernières années de sa vie, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les Français était précédée d’apostasies générales, alors que sa prodigalité ne s’est observée que dans les temps et les régions d’enthousiasme et d’assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
Dans un monde binaire qui propose « soit la pute, soit la voilée », la troisième voie se mérite par une ascèse, c’est-à-dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà un début de test minimal du « respect de la messe », le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d’hèsychaste, l’imagine-t-on en pantalon ? Ou maillot à capuche ? Ou oisif ? Ou obèse ? La religion est un hiératisme complet qui ordonne les aspects matériels de notre être social pour nous revitaliser. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L’entraide matérielle. Les bases de la chrétienté se trouvent dans cette humilité-là, et pas du tout dans les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n’y a pas de « catholicisme traditionnel » possible en sweat à capuche ni combishort, nulle part, jamais. La médiocrité qui nous agace dans le monde devient carrément révoltante dans le territoire moral séparé du monde qu’est l’Église. Car si les tratras abaissent leurs standards, qu’en sera-t-il des modernos ? Et des protestants ? Et des athées ? Et des LGBT ? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la « transition », par la démission en douce, par la décontraction graduelle à chaque génération des hommes qui laissent entrer en eux la honte que le monde veut leur inspirer de leur propre éducation. Loi de Volkoff : « Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard. » L’abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches, est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin, on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit même jusqu’au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. « Eux sont trop extrêmes, mais moi j’ai su rester raisonnable, voyez mon sens de la mesure. »
Réformer notre mode de vie
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à nous délivrer, à nous décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l’intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage, c’est la vraie pratique religieuse, plus que la retraite, plus que la messe, c’est le vrai test religieux auquel on ne peut mentir, d’ailleurs notre vie sur cette terre est un pèlerinage. D’abord, les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d’entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Un chrétien, une chrétienne, doivent aimer jeûner et savoir tirer leur force physique de ces privations mêmes, la prière aidant. Avant notre ère, le poète romain Horace comparait sa nation comme à un chêne vert durement émondé à la hache « qui, mutilé, haché, tire force et courage des coups mêmes du fer » (Odes, IV, 4, 57-60). Exit les bouches inutiles, les dondons, les « dames très gentilles ». Les vieux minces, eux, marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage, les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes la preuve qu’une vie est possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long terme.
À ces jeunes, je parlerais ainsi. Méfiez-vous des chefs catholiques, des « lanceurs », des officiers, des dames patronnesses et des sermons abstraits. Vous ne trouverez pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé « exagérée » la pudeur islamique féminine alors que c’est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l’Église, justement exactement le seul. La doctrine non sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l’amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n’ont plus cours en période d’invasion migratoire aiguillée par la thune blanche « redistribuée » et de la fesse blanche pornographique, deux fameuses pompes aspirantes. En période d’invasion la « charia blanche » est le plus petit acte de légitime défense qu’un peuple colonisé ait le droit d’opposer au pouvoir prédateur, et le premier article de ce code de loi est la modestie du vêtement, voire l’uniforme obligatoire. S’entendre dire comment s’habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale, surtout en France pays du quant-à-soi, pays de légèreté, d’inconséquence. La sobriété et même l’austérité sont des jougs faciles. Les refuser nous a accablés des fardeaux écrasants de la radinerie et de la mesquinerie, ces deux grands vices nationaux que nous porterons aussi longtemps que nous ne voudrons être ni sobre ni austère.
Mais puisque les enfants de l’électorat Villiers, les jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela, peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour ceux (2003), qui s’inquiète « pour nos sœurs qui seront les mères de demain ». Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l’être collectif gisent dans les hurlements de ces aborigènes que dans n’importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique (notion de « sagesse des primitifs » qui « rase de plus près la lisière de l’idéal » dit Baudelaire). « Pour nos sœurs qui seront les mères de demain » est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Français envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l’être collectif, le sens de la génération, le sens de l’honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d’avec d’éventuels actes de prédation, il recèle peut-être un avertissement aux « consentantes » qui entendent se vendre aux prédateurs, et enfin une menace adressée aux violeurs.
Il faut transposer Pour ceux pour nous. La modestie chrétienne du vêtement est la marque distinctive de la vraie foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d’une « mise hors monde » de la chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir elle-même et pour propager l’influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leurs fesses.
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Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de culture, c’est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d’engueuler un plus lâche que soi, d’engueuler tous ces permissifs chefs de palabre, ces montreuses de cul, ces tratras-hurleuses-n’importe-quoi-en-jean qui font baisser le niveau, prélats grotesques, infectieuses Karen « dame pachyderme ». Aucune pitié pour se mettre tous contre eux s’ils refusent de se réformer : plus ils seront évincés vite des églises et plus la jeunesse chrétienne sera saine, sainte, nombreuse, heureuse, immaculée, immaculable.
Les padres de la palabre
Les brebis perdues, ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n’ont guère comme horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l’alcool, le porno, le jeu vidéo, le paiement de rançon au colonisateur (impôts, taxe carbone, pécho du shit), le chômage, la philosophie de l’absurde, la Magalax, le « French Dream »… Évidemment qu’ils commencent à se demander pourquoi ils sont venus au monde, ces braves gamins ! Messieurs les clercs, arrêtez de leur casser les couilles. Expédiez votre messe en trois-quarts d’heure tôt le matin puis consacrez votre temps à l’avenir des jeunes Français. Ou fermez vos gueules. Votre mission est de ramener ces brebis perdues qui peuvent encore porter du fruit, elles ont priorité sur les autres et préséance absolue sur vos chronophages bigotes et autres quémandeurs tartuffes plaintifs. Ce sont les mariages futurs de vos jeunes et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d’explication ramènent toujours au point de départ : dénatalité, dénatalité, dénatalité.
Vous vous perdez en « dîme de la menthe » dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l’être collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s’exercer votre zèle, c’est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c’est tout, vous comprenez ? C’est cela une révolution christique vécue, vérifiable, la vraie négation de l’esprit du monde par les actes. Les actes, messieurs les apôtres jacasseurs. Le reste est absolument accessoire. Par surgeons de micro-chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s’étende en rameaux de familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d’entraide, en progression par cliquets sur le monde stérilisé de l’athéisme stupide. Et combien d’entre vous se font encore plus stupides que certains athées fielleux ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières (Les Décombres), ces clercs se repassent des histoires d’anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias « par le truchement de », leurs organigrammes vérolés d’impotentes en surpoids « fées du logis » qui commandent à des adolescents castrés, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés ? Mais s’ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la tradition qu’ils prêchent et l’énormité très « libérale » de leurs gaffes, alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d’anarchie libérale ?
Un désastreux sens de l’esthétique donne d’avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d’ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le Ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu : des épouvantails. Pour tous ces rabâcheurs d’abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l’esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux ! C’est le concret seul, l’incarrrrrnation qui préside à nos vies. L’habit fait le moine, d’ailleurs les porteurs de bure le savent bien. On finit toujours par penser comme on vit.
Enfin un idéal féminin désastreux ne l’oublions pas. D’où ces gâchis, ces potentiels sous cloche à fromage, ces jeunes filles tournées vieilles filles, et leurs sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D’où cette méconnaissance entretenue d’une féminité réconciliée, une féminité troisième voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine, les États-Unis formant d’ailleurs au pèlerinage de Chartres le seul chapitre à peu près regardable avec ceux des scouts et des Français de plus de 50 ans. Les catholiques américains sont exemplaires en matière d’organisation, de vêtement, de chant, de mode de vie. Est-ce parce qu’ils sont chez eux en première ligne dans le combat contre la Bête ?
Le sens esthétique, le sens de l’ingénierie sociale, le sens de l’honneur, le sens de la virilité, le tact, la conscience de soi… c’est tout un comme l’unicité de Dieu en ses multiples déploiements, or nos hauts dignitaires n’ont aucun d’entre ces prémices. Désastreux déshonorants gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d’une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre, que faites-vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers de la première heure remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous rompez en une seconde l’équilibre, et la prise repart liquide dans le monde. Le pèlerinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade... Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage ! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversions massives à partir d’un seul converti, de repeuplement à partir d’un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits : « Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j’ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j’ai tout mon temps pour cela ? »
Chers voisins de chapitre, vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards, servir la femme au lieu d’être servi par elle… grand bien vous fasse puisque vous aimez cela. Ces relâchements donnent prise aux assauts toxiques, ces apathies enhardissent les prédateurs qui aiguisent leurs canines à proportion de vos instincts détrempés qui s’émoussent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l’avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se recentre : sobriété, gravité, discrétion, redoublement de charité interne, redoublement de l’euphémistique vertu de prudence à l’extérieur. Vilains clercs font le contraire, méchants avec les bonhommes, bonasses avec les profiteurs et les mondaines graisseuses. Et on ne leur réplique rien par crainte de leur habit ? Mais qui, seul, devons-nous craindre au juste ?
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
Le prolétaire, étymologiquement, c’est l’homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
Ce sujet-clé de l’avenir des familles françaises, du visage que prendra le monde de demain, de la guerre pour la génération, sera le thème de la seconde partie de notre étude qui paraîtra après le pèlerinage de Pentecôte. Weininger, Schopenhauer, Soral, Félix Niesche, ont critiqué la féminisation du monde et ses conséquences. Attali a au contraire célébré l’avancée d’un progrès destructeur qui masquerait la prise de pouvoir de la femme comme catégorie ontologique au service de la Syna (mais ce faisant, Jacadi valide Weininger). Vous saurez bientôt tout sur la figure générique de la GDE, la Grosse Dame Tartuffe. L’homme du ressentiment de Nietzsche serait-il en fait la bonne du curé ? Quel archétype Balzac avait-il percé à jour dans Le Curé de Tours ? Une paresseuse qui ne veut être ni Marthe ni Marie est-elle vraiment votre sœur en Christ ? À suivre...
Lounès Darbois
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La croissance du nombre d'inscrits au pèlerinage de Chartres s'explique par une ouverture libérale au monde et se paiera par une dégradation liturgique et par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l'ascèse d'un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. "Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année! C'est le grand retour de la Chrétienté!" exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et déplaceurs de pions sur carte d'état-major. Non pas. C'est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-Chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l'extérieur par le monde, très affadie de l'intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pélérinage traditionnel? Les JMJ.
Il suffit d'examiner ce que l'on voit. Le concret, la forme, le corps, ne mentent jamais. Par exemple la crétinisation de l'école se mesure beaucoup plus sûrement à l'effondrement vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires. Quand on décore du nom de professeur une dame extravertie en surpoids habillée n'importe comment c'est que tout est fichu et que plus rien ne signifie rien. En matière de pèlerinage de Chartres, la Forme, avec le temps, depuis le temps (40 ans!) devrait se diriger vers davantage de Tradition chaque année, davantage de savoir-faire, davantage d'affermissement sur ses bases... mais elle va vers moins de Tradition, moins d'énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l'on voit. Qu'est-ce que l'on voit? Eh bien, un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières en combishort Coachella qui vont au pélé "chez mémé" occuper leur place numérotée, répandre des ordures que les vieux messieurs ramasseront. Des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, inconscients de l'heure qu'il est. Un peuple inmariable.
La Tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa Culture, au niveau d'un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n'ira plus à l'église.
Chers rêveurs vous vivez selon des usages valables en temps de paix alors que nous sommes en temps d'invasion aggravée, de colonisation, de crise, de persécution, d'extermination. Assez d'analyse dépassionnée "avec du recul", et de cette intelligence de resquilleur "plus intelligent que cela", de ce vocabulaire de statisticien de l'OCDE. En matière de tradition, les standards de la vie pratique sont le vrai "sens du sacré", la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable: le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la musique, l'usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d'une Forme aux soubassements plus profonds, invisibles, et sacrés. Abaissez vos standards culturels: vous profanez votre Religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa Culture fuit dans l'abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les dernières frontières qui le protègent de l'égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
"Chacun fait ce qu'il veut" signifie chacun pour soi signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu'il veut est un slogan de gauche produit par l'oligarchie de l'extrême-droite financière anti-Blanc, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles: "Diviser pour régner" et "L'ordre par le chaos".
Qu'est ce qui a perdu les Arabes? Le sucre. Qu'est-ce qui a perdu les Blancs? Le fun.
Ce pèlerinage qui devait être le cœur battant impénétrable d'une micro-Chrétienté s'étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle "très ouvert et détendu" de tous les dégazages de fonds de cuve du monde, nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
L'Eglise est une Hiératique c'est à dire un Ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l'expérience c'est à dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux, naissance, mariage, mort, et jusqu'aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pourquoi faire? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l'autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler.
"La Paix c'est la tranquillité de l'ordre" et qui méprise cette antique maxime se condamne lui-même au bordel, au dérisoire, au "fun", à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en "Nicolas, 30 ans".
L'Eglise est une armée spirituelle qui dit aux soldats des deux sexes ce qu'ils doivent manger, comment ils doivent s'habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. Cette armée n'enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l'Eglise ne nous poursuit pas de ses oukazes, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu'elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d'autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d'échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Parler peu et bien, porter le voile à l'église, la jupe longue en société, ne pas baffrer, ne pas comérer, ne pas exiger... sont le strict minimum auquel peut souscrire celle qui se dit chrétienne en période d'invasion aggravée et d'apologie de toutes les déviations. La modestie chrétienne du vêtement surtout, est la marque distinctive de la Vraie Foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d'une "mise hors-monde" de la Chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir soi-même et pour propager l'influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leur cul.
La maladie dont nous crevons c'est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d'immigration. Le point nodal de tous les remèdes c'est la génération endogame séparée du monde c'est-à-dire la sainteté, étymologiquement la "séparation", considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l'autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C'est ainsi que vivaient les terroirs français. C'est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères Pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-américains, et tant d'autres Formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l'on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale c'est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti-pris d'existence grégaire, par une Forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un Esprit de cette Forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd'hui un millier de Blancs d'Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l'enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d'invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. "Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père". Il y a assez de place dans l'Eglise pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m'arrête à son seuil tel Moïse devant la Terre Promise), selon des principes très bien décrits par Julien Langella dans "Catholique identitaire", et qui s'appuient sur l'exégèse biblique et l'apologétique. Et pour tout avouer bien nettement, non seulement la Religion est le seul moyen de peuplement bio qu'ont les Blancs hors du fascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l'irréligion. En cas de doute on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l'a fait Patrick Buisson depuis 10 ans, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les vrais Francais était précédée d'apostasies, alors que la prodigalité ne s'est observée que dans les temps et les régions d'enthousiasme et d'assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
Dans un monde binaire "la pute ou la voilée", la Troisième Voie se mérite par une ascèse c'est à dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà le vrai test minimal, le vrai "respect de la Messe", le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d'hèsychaste, l'imagine t-on en pantalon et tee-shirt ? Ou oisif ? Ou obèse ? La Religion est un hiératisme qui ordonne les aspects matériels de notre être social. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L'entraide. Ce sont là les bases de la Chrétienté, et pas du tout les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n'y a pas de "catholicisme traditionnel" possible en sweat capuche ni combishort, nulle part, jamais. Car s'il en va ainsi des tratras, qu'en sera-t-il des modernos ? Et des protestants? Et des athées ? Et des LGBT? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la "transition", par la décontraction graduelle des hommes à chaque génération. Loi de Volkoff: "Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard". L'abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit jusqu'au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. "Eux sont trop extrêmes, mais moi j'ai su rester mesuré, voyez".
Idem des théories sur la Civilisation. La seule Civilisation immédiatement identifiable c'est une rue heureuse, familiale, proprette. Expliquer autre chose c'est signer du charabia d'intellectuel payé au nombre de signes. La vérité la plus crue sur la cléricature à été écrite par Rebatet dans son livre Les Décombres, chapitre "La religion chrétienne". À savoir qu'en dehors de la stricte administration des sacrements et des rappels de doctrine les intellectuels clercs ou laïcs sont en matière politique, physique, sociologique, des "imbéciles pyramidaux" et cela se vérifie toutes les fois qu'on laisse à cette engeance la plus petite responsabilité concrète ne serait-ce qu'à l'échelle d'un village, même d'une assemblée de quatre individus. Eux sont les premiers à s'indigner et à raison, des divorces, de l'anarchie dans les familles, des enfants-rois, des pères éteints et des mères hurleuses, très bien. Mais toutes les fois où éprouvés par le hasard ils ont dû arbitrer un conflit c'est à dire à rendre Justice, ils ont systématiquement donné 1 partout balle au centre pour départager la dame fût-elle la plus exorbitante hystéro-concierge et le bonhomme fût-il le plus discret arrangeant ponctuel bosseur. Leur vrai Surmoi c'est le qu'en dira-t-on du Monde.
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à se délivrer, se dépouiller, se décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l'intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage c'est la vraie pratique religieuse beaucoup plus que la Retraite, que la Messe, c'est le vrai test religieux à qui l'on ne peut mentir. D'abord les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d'entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Exit les bouches inutiles, les dondons, les "dames très gentilles". Les vieux minces eux marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non-alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes l'idée qu'une vie est encore possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long-terme.
À ces jeunes je parlerais ainsi. Tu peux marcher? Tu ne veux pas marcher? Ne parle plus religion. (Tu parles politique ? Tu n'as pas lu 3 fois BPM? Ne parle plus politique). Mais je leur dirais aussi de se méfier des chefs catholiques, des "lanceurs", des officiers, des dames patronesses et des sermons abstraits. Ils ne trouveront pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé "exagérée" la pudeur islamique féminine alors que c'est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l'Eglise, justement exactement le seul. La doctrine non-sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l'amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n'ont plus cours en période d'invasion migratoire aiguillée par la double pompe aspirante de la thune blanche "redistribuée" et de la fesse blanche pornographique. En période d'invasion la "charia blanche" est le plus petit acte de légitime défense d'un peuple colonisé, et le premier article de cette loi est la modestie du vêtement, en somme l'uniforme obligatoire. S'entendre dire comment s'habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale surtout en France pays du quant-à-soi. Mais le quant-à-soi avait une condition: la crainte commune de Dieu, ceci tranquillement, comme l'on craint un père, sans transport mystique. Le mépris de Dieu à donné oppression athée qui a donné invasion qui a donné prédation sur les jeunes filles selon la race et le vêtement. Ceux qui ne comprennent pas cela, ceux qui n'en n'ont pas fait l'amère expérience n'ont aucune légitimité à diriger les Blancs: ils ne les aiment pas assez, ils n'ont pas assez peur pour eux, ne se creusent pas assez là tête pour eux. Ces faux chefs ont 40 années de retard à l'allumage. "Sacrebleu on voudrait nous empêcher en France de laisser nos filles sortir vêtues en miel à mouches? De qui se moque-t-on?". Le lendemain matin Françaises violées, Français tués, Peuple métissé, stérilisé, garçons français privés de leurs alter-égales (c'est la liberté!). Ils ne comprennent pas ces désastreux types la notion de réduction de voilure, qu'ils doivent au contraire ordonner une diète de peau visible pour affamer les sangsues qui ne vivent que dessus, qu'en ces temps d'hypertrophie du désir la satiété, le dodu, le facile, le "super-salope", le loisir, le vantardisme, sont des malencontreux focs oubliés qui font prise au vent dans une tempête, des monnaies qui n'ont plus cours cause de dette que nul ne peut rembourser. Ce sont ces jetons de casino qui ont excité l'appât du gain chez les vils prédateurs qui sont là aujourd'hui, qui ne veulent plus partir, le fameux "on est là, on vous baise" de l'homme du ressentiment qui, privé de capacité productive par ses facultés intellectuelles rudimentaires n'a que sa capacité de nuisance à exercer sur le pays sans défense, lui le sicaire qui s'ignore choyé par la pire bourgeoisie anti-Blanc jamais parue en Civilisation (cf Céline) qui lui a toujours enseigné la haine de la France, la prédation sur les Blancs, le faux roman national ("on est venu reconstruire bla bla bla, tirailleurs chair à canon bla bla bla, occident riche du pillage etc"), roman exactement inverse de la vérité historique des faits. Face à ces 2 fronts quel recours avons-nous ? Nos chefs cathos école De Villiers?
Puisque leurs enfants, jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour Ceux, daté de 2003, "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain". Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l'Etre Collectif gît dans les hurlements de ces aborigènes (notion de sagesse des primitifs qui "rase de plus près la lisière de l'idéal" selon Baudelaire) que dans n'importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique. "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain" est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Blanc envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l'Etre Collectif, le sens de la Génération, le sens de l'honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d'avec d'éventuels actes de prédation, il recèle enfin une prévention et un avertissement aux "consentantes" putes qui entendent se vendre aux prédateurs, et une prévention et un avertissement aux violeurs.
Vous êtes un vrai Français? Vous ne pouvez pas vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez pas parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement d'un seul millimètre, sans quoi c'est la descente entièrement au Primitif ontologique pour n'en plus jamais remonter. En temps d'invasion vous ne pouvez pas "faire la fête", on ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les hilotes devant les Spartiates, consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques, encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d'avoir bouffé, toute l'année, toute la vie, et le salaire de toutes ces gaudrioles stupides c'est la honte, le déclassement, la mort, l'oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l'école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de minifoot qui ont défiguré l'équipe de "France" en cette chose honteuse qu'elle est devenue, l'invasion et tous les déshonneurs ordinaires apportés par un désastreux rapport au féminin, sont des plaies qui cautérisent très vite à condition d'une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de Culture c'est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d'engueuler les plus lâches que soi, d'engueuler tous ces chefs de palabre, montreuses de cul, prélats grotesques, ces infectieuses Karen dames pachydermes. Aucune pitié pour se mettre tous contre eux: plus ils seront évincés vite plus la jeunesse chrétienne sera saine et sainte, la jeunesse blanche immaculée et surtout immaculable.
Les brebis perdues ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n'ont d'horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l'alcool, le porno, le paiement de rançon au colonisateur, le chômage, la philosophie de l'absurde, la Magalax, le "French Dream". Evidemment qu'ils se demandent pourquoi ils sont venus au monde! Messieurs les clercs expédiez votre messe en 1 heure tôt le matin puis consacrez votre temps aux brebis perdues. Vous devez regonfler, convertir tous ces Blancs, c'est cela votre mission, ce sont eux les brebis perdues qui ont priorité sur les autres et certainement pas vos chronophages bigotes et autres quémandeurs plaintifs. Ce sont les mariages futurs et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d'explication ramènent toujours au point de départ: dénatalité, dénatalité, dénatalité.
Vous vous perdez en "dîme de la menthe" dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l'Etre Collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s'exercer votre zèle c'est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c'est tout. Le reste est absolument accessoire. Par surjons de micro-Chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s'étende en familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d'entraide, par cliquets sur le monde stérilisé de l'athéisme stupide. Et combien d'entre vous se font encore plus stupides que les athées ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières, ils se repassent des histoires d'anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias "par truchement de", leurs organigrammes sont vérolés d'impotentes en surpoids "fée du logis" qui commandent à des adolescents, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés? Mais s'ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la Tradition qu'ils prêchent et l'énormité très libérale de leurs gaffes alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d'anarchie "libérale"?
Un désastreux sens Esthétique donne d'avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d'ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu: des putains d'épouvantails repoussants. Pour tous ces rabâcheurs d'abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l'esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux! Enfin un idéal féminin désastreux ne l'oublions pas. D'où ces gâchis, ces potentiels sous cloche, ces jeunes filles tournées vieilles filles, ces sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D'où cette méconnaissance entretenue d'une féminité réconciliée, une féminité Troisième Voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine. Mais je ne puis regarder sans honte les filles de chez moi. Le style "aprêté"? Le frêle, l'engoncé de l'assistance des mariages, où la toilette des jeunes femmes acquiert la distinction d'une londonienne de Croydon du samedi soir. Mais telles mères, telles filles...
Le sens Esthétique, le sens de l'ingénierie sociale, le sens de l'honneur, le sens de la virilité, le tact, la Conscience de Soi, tout cela c'est tout un comme l'unicité de Dieu, or vous n'avez aucun d'entre ces prémices. Désastreux déshonorant gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d'une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre que faites vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous effondrez en deux secondes la prise qui repart liquide dans le monde. Le pélérinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade. Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversion massive à partir d'un seul converti, de repeuplement à partir d'un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits: "Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j'ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j'ai tout mon temps pour cela".
Chers camarades vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards... grand bien vous fasse. Ces expansions de l'être donnent prise aux toxiques, elles excitent les prédateurs qui se voient alors vos égaux, allument l'envie pendant que vos instincts détrempés se relâchent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l'avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se resserre: sobriété, gravité, discrétion, redoublement de Charité interne envers ses frères, redoublement de l'euphémistique vertu de Prudence envers les étrangers. D'où le soin à apporter dans le rangement, la netteté, la première impression, le vêtement, dans ces choses nous entourent à tout moment au point que nous les oublions.
Tant de lâches à engueuler, tant de dictature à secouer... Dictature des bourgeois-bordel sur une Eglise armée mexicaine quand il faudrait des ouvriers et techniciens, un prolétariat français blanc chrétien qui maîtrise les métiers d'indépendant productif, sur le modèle école de la Martinerie. Le prolétaire, étymologiquement, c'est l'homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu'est-ce qui a perdu le Liban? La Syrie chrétienne ? C'est la vie bourgeoise, le mesquin principe du "pas trop d'enfants", la radinerie du "pas de premier enfant avant 30 ans". En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l'ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d'un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. "Quoi? Tu n'as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu te marieras jamais". Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par embourgeoisement. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, se sont enrichis, sont allés de mieux en mieux. Chez eux c'est rangé, ils prient, ils chantent, ils lisent, ils s'entraînent, ils s'entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable: la bagatelle, le restaurant, le voyage: en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s'amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d'en prendre un pour deux et de se serrer ensemble dessous.
Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
Voulez-vous éduquer les adolescents ? "L'éducation des jeunes européens en milieu multiculturel violent" de Laurent Ozon, tout est dedans, en quatre pages. À l'opposé, les désolantes dondons éducatives avec leur furie de vengeance inassouvie, avec leur stupéfiante muflerie de poissonnière hurleuse n'ont pas leur pareil pour démolir à vie les jeunes filles et les jeunes garçons de bonne race qui leur sont confiés. Quelques années scolaires de leur régime et vous obtenez ces petits adolescents procéduriers trouillards qui ne savent ni qui ils sont ni ce qu'ils doivent faire dans leur propre pays où ils sont ultra-minoritaires, ces maussades jeunes filles gâtées qui apostasieront à la première contrariété. Ils et elles n'auront connu de l'éducation religieuse qu'une mise en conformité toute scolaire avec une série d'exigences sous la pression de "maîtresses" catastrophiques. L'éducation religieuse, la vraie, dure toute la vie, elle stipule entre autres choses que les dames ne sont pas qualifiées pour l'enseigner et que nul ne doit se faire appeler "maître", l'Evangile le rappelle en toutes lettres, c'est dire combien sont légitimes les configurations actuelles.
Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?"
Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament personnel de l'enfant avec la Tradition: la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille?
L'école privée tratra c'est comme le pèlerinage de Chartres : ça s'aligne sur les exigences des nouveaux entrants qui veulent profiter d'une Tradition toute prête pour eux. Ainsi en est-il des paysans envahis par les néo-ruraux, de la France par les squatteurs, des Civilisés par les barbares. Le pèlerinage de Chartres est une mini-société sauvée des années 60 noyées sous le Déluge et qui est en train de recommencer les catastrophes des années 60.
Nous sommes tellement pétris par Mammon que nous en avons oublié comme la Providence prend soin de nous. N'est-ce pas une chose très angoissante que de voir des jeunes de bonne race mais sans gravité, sans religion, chercher la voie la plus propice à leur faire vite "engranger du fric" ? Les aventures du cadre Berthier dans le film Une Époque Formidable disait déjà tout. L'immense triche de "faire carrière", de "viser les hauts salaires" lorsqu'elle est répétée par toute une classe d'âge va forcément démultiplier l'immigration de bas salaires. La muflerie ESC de prétendre au titre de "cadre" pour encadrer, pour superviser ceux qui travaillent et jamais faire soi-même le travail porte en germe la colonisation par importation massive de profiteurs qui vont bâcler le travail, écœurer les travailleurs du sol par bas salaire et bas travail. Un peuple? Un troupeau de cadres. Universités remplies "d'étudiants étrangers" aspirants cadres. Tous d'accord pour cette attitude quasi métaphysique : faire faire le travail par d'autres et s'enorgueillir de cela.
Le travailleur à son compte, autonome, ostréiculteur, plombier, carreleur, sont les vrais créateurs de richesse, les apporteurs utiles de valeur ajoutée. Et quelle misère leur font la police, les normes, le stationnement, le fisc...
Le juste châtiment pour avoir prétendu par des études encadrer les autres c'est de devenir soi-même un précaire du tertiaire surdiplomé incapable, n'encadrant personne, et doublé dans la méchante compétition sociale par des ouvriers qualifiés bien payés dès leurs 25 ans.
Après le pèlerinage la marche s'arrête, on rentre chez soi et le culte devient statique. Bien. À peine aurez-vous fait un mouvement dans le sens de l'idéal chrétien que vous prendrez dans la gueule non pas les prédateurs extérieurs connus et déclarés de la Religion (eux se contentent de regarder et de ricaner) mais le phénomène interne très incongru des grosses dames tartuffes de paroisse, les aide-curé qui ont le doigt en l'air, les mères furieuses en surpoids et leurs maris chapons empressés, les cantinières à deux quintaux très fière du rata de midi, les empotées de la rue d'Ulm qui disent "maman" pour parler de leur mère alors que leur mère n'est pas dans la pièce. C'est l'énorme aberrant problème ecclésial de féminisation et la pire de toutes, une féminisation graisseuse, palabreuse, bordéleuse, impotente mais cramponnée à tous les aspects-clés : mise en relation, mondanités religieuses, éducation religieuse, carnets d'adresses, recommandation, validation, placement de table. Dans chacun de ces domaines c'est toujours quelque échappée de cure thermale qui commande, cela dans une jouissance des commérages, des rapports et des "mises au point" d'une bassesse, d'une mesquinerie inimaginables.
Le relâchement des standards produit la mère intrusive, la mère intrusive produit des efféminés passifs et des virils retirés du jeu. Défaillance fatale dans un monde tout tourné vers "celui qui sait s'affirmer", arrêt de mort de la génération. Ce que l'on a pu nous tourmenter par le concept d'homme du ressentiment ! Comme quoi nous serions "dans la haine", que le sous-homme s'agiterait peut-être en nous. Fabuleux cadenas de fermeture de gueule pour esclave à basse estime de soi inhibé par philosophie du soupçon.
Si ces esclaves veulent respirer à nouveau je leur dirais d'être impitoyables envers la dame du ressentiment. Ces corps débilisés assurés de leur place dans un bureau pour leur débilité même et tyrans absolus, ces impotentes en surpoids mais qui rebouffent encore, ces enfoncées dans le mur qui refusent de se réformer, ces difformités exemptées de sport par "dispense très exceptionnelle"... n'ont pas à souiller même une seule seconde la vie de la jeunesse chrétienne.
Nulle religion, nulle tradition n'est possible, n'est imaginable qui ne commence par châtier sans pitié tous ces quinquagénaires gynecées crasseux graisseux grotesques, qui ne commence par chasser loin très loin ces dangereux Majin-Bou à ventouse chercheuse, à bien rosser, à bien fouetter les prétentions de ces limaces métaphysiques rampant sur nos mansuétudes en période de chômage aggravé, à bien rabattre le sale caquet preneur de confiance de ces très coûteuses hurleuses bouches inutiles dévoreuses de fric, rumineuses de seume recraché en discordes inextinguibles sur braves gens qui ne remontent jamais la chronologie des événements. Pour retrouver la vie religieuse joviale et simple quel strigile sera assez précis pour racler les suints huileux exsudés des pores de ces oisives batraciennes sudoripares épuisées d'agiter leur éventail? Quel grattoir, quel papier de verre, quelle paille de fer sera assez rêche pour poncer jusqu'à l'arasement les dépôts moussus de ces personnifications de marécage putréfié en crue? Quelle juste proportion de vinaigre et de soude produira la réaction chimique assez effervescente pour détartrer cet ignoble enduit, pour lisser ce crépi de studio marseillais hérissé sur des fresques de Giotto ? Pour quelle granulométrie de quelle pierre ponce râpeuse, pour quel degré de rugosité abrasive faudra-t-il opter lors du grand décapage qui nettoiera une fois pour toutes l'épandage solidifié des lisiers de porcherie projetés par ces truies hurleuses bonnes qu'à saccager, qu'à baffrer, qu'à digérer des passe-droits exceptionnels, vautrées dans leurs purin de certitudes? Quel rinçage final, quelle purgation, quelle cure de lavement par eau de Vichy multipliée par Sainte-Yorre chasseresse d'impuretés saura déboucher l'occlusion, détacher ces mollusques fossilisés sur parois hospitalières, histoire que l'on chie ces corps étrangers pêle-mêle aux ordures pour de bon, que l'on tire enfin la chasse, que l'on se relève finalement soulagés d'une tonne, leur tonne, et que l'on passe à autre chose?
Quand il cherchent les coupables, les dignitaires de la très compétente hiérarchie catholique remonte toujours à Adam jamais à Eve, ils voient Borgia jamais Syna. Puis quand ils comprennent tout de même que c'est de ce côté là que le mal est entré dans le monde ils se rétractent apeurés: "Tout compte fait ne cherchons point de coupable! Le mal est fait? Tant pis! Désormais il nous faut aller de l'avant!", entendez en avant vers l'Afrique, le gynécée et le wesh Versaillais.
"C'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents." (Bernanos)
Le monde claque des dents? S'il y a beaucoup plus de trans***** dans le monde c'est à cause du mélange des garçons et des filles dans les églises chrétiennes. Et des reprotoxiques ! Mais la mixité est un reprotoxique social, un perturbateur, un inhibiteur, un empoisonneur autant redoutable que le plastique alimentaire. Le monde claque des dents? Le monde est irrespirable à proportion des baissages de froc de tous ces sels de la terre affadis.
Quelques remarques supplémentaires...
Il y a un péché de connerie et d'accumulation de menues conneries, un péché d'acceptation non sue d'états de fait vendus pour indépassables et achetés comme tels. Comme on meurt d'asphyxie indolore au monoxide de carbone on peut périr de brol, de graisse, de bavardage, de bibelots, de saccade, de heurts, de concession.
Et toujours se rappeler de se méfier énormément des "importantes". Plus elles vous voient mince et rapide plus vous détestent. Vous êtes sans vous en douter outrecuidant pour ces sacs à ressentiment. Elles ne peuvent avaler le reproche que vous leur faîtes à votre insu, ni le digérer, ni rien digérer d'ailleurs d'où leurs rumination de coups bas, leurs commérages gastro-oeusophagiens par renvois acides, et leurs excédents inévacués qui les contraignent à se porter elle-même deux fois en soufflant comme des vaches méthanières.
Aller à la messe nous est souvent pénible, nous n'aimons pas cela, nous y allons par devoir, pour "rendre nos respects" au Maître de nos vies chaque semaine. Ces statues sont désespérantes, ce carrelage noirâtre est désespérant, ce marron mobilier 19e siècle est désespérant, ce sont là des choses acquises, très bien. Complaisance dans la médiocrité, dictature des gougnafiers sur les esthètes, chants démusclés dans les aiguës, accompagnements bâclés, neurasthénie flottante, tout cela est connu, très bien. Pourtant il faut accepter cet agenda, cet ordo, et il portera des fruits.
Mais en des temps de dénatalité publique la seule grande épreuve en matière religieuse, et tous les débats "République contre islam" l'ont assez montré depuis les années Dantec chez Ardisson, c'est la place de la femme, la tenue de la femme, les droits de la femme. Tous nos divorcés, ruinés, cocufiés, porteurs de matrones, réceptacles à hurlements, encaisseurs d'affronts, épongeurs de dettes... ne savent se cabrer vraiment que sur un point (eux si doués pour transiger), ne savent récriminer contre Ismaël que sur un point, et c'est? C'est la place de la femme, ah ah! Le Tradi est accroché à l'ominipotence de sa cantinière "chrétienne" de 500 kilos en legging pérorant ses exigences, il y tient comme à la Messe, beaucoup plus qu'à la Messe, pour lui la société chrétienne ne peut être qu'un gynecée de bavasseuses dans un décor d'anges en bibelots et de fleurs en plastique, grignotant des biscuits sucrés avec le chauffage à fond et la buée sur les vitres parce que Madame Lebrouneux a froid vous comprenez, il ne conçoit pas de manifestation plus aboutie de la Chrétienté triomphante.
Mais que veulent au juste tous ces pachydermes à prier Marie? Qu'y a-t-il entre elles et elle? Puisqu'elle était mince, et pudique, et taiseuse, pourquoi invoquent-elles Dieu par son intercession ? Si elle est leur modèle que ne modèlent-elles pas leur silhouette, vêtement, langage, sur l'exemple sont elles se réclament?
Pour rappel voici comment le Christ notre modèle à imiter s'adresse aux dames lorsque celles-ci prétendent s'impatroner dans sa vie: "Qu'y a-t-il entre toi et moi?", "Va-t-en et ne pêche plus", "Ne me touche pas".
Vous transigez sur la primauté des hommes en Religion, vous transigerez sur tout par répercussion, par dominos psychologiques. Toutes les réalités visibles sont appuyées les unes sur les autres dans un monde invisible. Tout le monde comprend très bien les avertissements des légendes: Hélène de Sparte, les Sabines. Mais très peu assument d'agir en conséquence d'où certains ennuis hélas connus.
Il est très normal que la question cruciale soit "la femme" en des temps d'apostasie et de stérilité massive puisque la religion est une ingénierie sociale de perpétuation d'un peuple et la femme la garante de la prodigalité du peuple, de l'honneur du peuple, de la stabilité du peuple. Est-ce vraiment trop espérer pour nos jeunes: la jeune fille européenne à marier, chrétienne, bien élevée, bien habillée, et c'est tout.
Dès lors qu'une religion admet que la femme religieuse puisse jacasser tête découverte en public, c'est que tout est fini. Quels que soient les prétendus "chiffres encourageants", ce sera une croissance par la honte. Une telle faute à un tel endroit en une telle époque, après tous les vivants avertissements reçus depuis mille ans, après tous les traités de sagesse connus qui ont tant insisté sur ce point... est une transgression qui engage l'intégrité même des souches raciales du peuple emmené dans le ravin par mauvais bergers.
La femme religieuse de 25 ans qui s'interroge sur sa foi avec des mots de vidéo tiktok pour exprimer sa "connection", comment "se rebooster sa foi"... n'a rien compris, n'a rien à faire dans un pèlerinage religieux traditionnel et ceux qui l'y tolèrent vendent à crédit ce pèlerinage au Monde avant de se faire racheter à bas prix et fiche dehors à leur tour.
Qu'est-ce donc que vos Tradies, si l'on enlève l'écriteau sous le tableau d'art abstrait, que reste-t-il comme résidu à sec après évaporation des mots d'explication? Probablement le pèlerinage 2023. Comment alors "répondre de l'espérance qui est en nous" face aux Mormons, aux Amish, aux témoins de Jéhovah, et même aux religions non-chrétiennes qui en matière de vêtement se tiennent cent fois mieux que nous? Tout ce chemin tradi pour se conformer finalement au degré d'élégance d'une présentatrice quinquagénaire de KTOtv, avec pour doctrine deux paragraphes de féminisme La Croix. Les dondons de paroisse, ces excellents épouvantails placés devant les baptistères pour en interdire l'accès aux convertis sérieux, si elles sont laissées en paix, égareront par leur seule présence les derniers désirs de conversion.
Le combat spirituel consiste à se réformer soi-même chaque jour toute la vie.
Jamais ni l'orthodoxie, ni la synagogue ni la mosquée n'auraient toléré une minute d'un tel relâchement. La honte... la honte. J'ai honte. Quel spectacle à vous faire rentrer sous terre de honte que la sans-gêne dame graisseuse et sa version jeune la "tradi en short" donnée en pâture au monde. Si telle est la tradie que sera la moyenne? C'est déshonnorer la Vraie Foi, c'est se déshonnorer soi-même, c'est déshonnorer les hommes religieux à qui elles imposent leur présence. Zéro conscience de soi, zéro sens du groupe et ça prétend au titre de chrétienne. Cette honte absolue : lorsque les moines tonsurés du Barroux, ces saints hommes, sont forcés de côtoyer 3 jours durant cette pouillerie de gynecée en sueur beuglant des chansons de colo, et personne pour oser formuler une objection.
Personne ne vous oblige à venir dans un pèlerinage religieux traditionnel. Ceux qui vous y admettent sont les vrais salopards de l'affaire il est vrai. S'ils avaient un tout petit peu de courage face au monde ils se restreindraient sur un pèlerinage de 5000 personnes propres plutôt que de faire le trottoir pour un bordéleux cortège de 15000, et d'y trouver un motif de vantardise. C'est toujours le nombre et "l'ouverture" aux bas standards qui perd les causes nobles. Voulez-vous retrouver le fameux sens du sacré ? C'est simple. Parlez comme à l'entrée d'une église orthodoxe. "Pas de voile? Pas de jupe? Tu n'entres pas ici, c'est tout". Elles peuvent aller repeupler les Communauté Saint-Martin, Emmanuel, les diocèses qui en ont grand besoin autant qu'elles le veulent. Leur seule tenue démontre qu'elles n'ont rien à faire dans la Tradition.
Ces "chefs" tout remplis de textes sont les vrais salopards de l'affaire car ils laissent se propager la merde qu'ils promettent combattre alors qu'ils savent très bien comment la merde s'est propagée dans les années 60. Et eux les rescapés du déluge recommencent les années 60 par le menu! Tous admettent la notion théorique de "modestie du vêtement". Très peu sont capables de spécifier les critères concrets du vêtement modeste. Résultat, aucun n'est capable de faire respecter le port de cet habit même pour 60 minutes dans l'enceinte sacrée d'une église lors de l'office le plus saint de la semaine. Et ces gens-là seraient les dirigeants légitimes de milliers de jeunes chrétiens ?
Notre idéal esthétique ? Des corps minces, des visages graves, très au courant du tragique de la vie et de la condition de l'homme français en France, des personnes frugales sur lesquelles une hyène ne trouvera rien à manger, des vies sobres toutes de rusticité avec l'extérieur, toute de douceur avec l'intérieur.
Tout ce trop connu foutoir de bourgeois-bordel "pas fixé sur le matériel" stérile et désastreux doit être démantelé intégralement avec ses pourvoyeurs.
Le voile, au moins à l'église, vous l'avez abandonné à "libre appréciation individuelle". Même séparer les hommes des femmes à l'église, ce tout petit signe vérifiable de respect du sacré qui permet à un adolescent de voir l'autel devant lui quand il prie et non le cul d'une dinde, cela aussi vous l’avez laissé gâcher dans le pêle-mêle foutoir "évolué" de vos goûts invertis.
Invertis et divertis où sont vos convertis ? "Allez d'abord aux brebis perdues de la maison" vous a-t-on dit, mais y êtes-vous allés? Celles-ci sont les Français de souche, athées, retournés, dégoûtés. Ce sont vers eux d'abord que doivent aller nos prières, nos mains tendues, nos efforts, et parmi eux-mêmes priorité aux gens de bonne volonté, aux hommes sains, aux femmes saines : beauté physique, vitalité, horreur de la vulgarité, compétence, ce sont ces fruits du bon sens qui nous peuvent rendre le Bien Commun par mariages, familles, enfants.
Le laisser-aller de la Forme traditionnelle prépare le laisser-entrer de l'informe. Voyez la mousse expansive comme elle opère : c'est cela l'image du laisser-aller, c'est une dilatation, un relâchement de la Forme dans l'espace et le temps. Maintenant imaginez qu'un champignon vienne véroler cette matière levée propice aux infections, qu'il l'investisse dedans, dehors, la rende spongieuse, liquéfiée, la fermente et s'en nourrisse jusqu'à la consommer entièrement. Vous avez le processus complet relâchement-invasion. La nature nous avertit assez en la personne des jeunes filles: ravissantes à dix-huit ans, combien sont méconnaissables dès leurs vingt-cinq ans passés ?
Tout ce qui est frugalité diététique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vêtement, ascèse de l'emploi du temps sont des standards d'intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la Forme pour la maintenir, la muscler, la former à subsister beaucoup avec peu d'apport. La rusticité révulse nos tendances naturelles au plaisir. Moyens de supporter la rusticité? D'abord l'état d'esprit: zèle religieux, conscience de l'invasion, fanatisme pour un idéal de Beauté. Puis investir ou dépenser l'argent mais ne pas le thésauriser, le chant, la danse, la création, l'action concrète sur les choses, le sport, la baignade, le massage, le parfum, l'ameublement, le travail, les victoires. Petites récréations...
Si vous transigez sur la Forme peut-être garderez vous dans certains cas la Foi en vous-mêmes mais au-dehors de vous, l'exemple vivant que vous rendez portera témoignage contre votre Foi, abaissée à proportion de l'abaissement de vos standards. "Fi du regard des gens!" direz vous... Pardon ce n'est pas vous qui serez souillé mais l'honneur de la Foi que vous croyez représenter correctement. L'exemple catastrophique des matrones de paroisse et autres déjetés a six décennies d'éloquence derrière lui: ce ne sont pas eux-même qu'ils minent mais l'Etre Collectif et le rayonnement extérieur de l'Etre Collectif. Ils n'ont qu'à paraître pour repousser les indécis, fatiguer les candidats, inhiber les convertis, écœurer les braves gens, confirmer les infidèles, rassurer les athées, et comble de la catastrophe retourner les jeunes qui pourraient faire de belles familles chrétiennes pour les pousser dans la stérilité eux aussi, dans l'inversion, dans l'apologétique adverse etc.
La Forme sans ascèse se dégrade ; qui ne se réforme pas en permanence se déforme.
Dès lors l'Eglise se dépeuple, la démographie française baisse, l'invasion se répand. L'ascèse et la rusticité, le voile et le clanisme bref l'esprit de clôture sont les seuls rapports au monde fructueux en temps d'invasion. Ceux qui ne comprennent pas cela se condamnent à dispersion, à dilatation de mousse expansive : après l'illusion de l'ivresse vient la dépression du réveil et de la casse à rembourser, des embrouilles à régler.
Sous le joug d'un pouvoir qui a confisqué exprès vos frontières c'est à vous de protéger votre clôture sociale: charité absolue en interne, prudence absolue en externe. Plus de frontières ? Clôture. En période de frontière sûre point besoin de clôture. Or les 20 millions de vrais Français qui restent dans le pays vivent dans leur majorité encore comme s'ils étaient protégés par une frontière, d'où leurs ennuis hélas : filles menacées ou "consentantes" (pire), pères déshonorés, garçons isolés, personnes âgées recluses, enfants maternés etc.
En matière de gestion de ses filles du sol avant mariage un pays envahi dispose de deux options: le couvent ou le bar à putes. La majorité des envahis trouve la seconde option plus conforme à leur sens de l'honneur, nous pas.
Il est tout à fait normal entre Blancs civilisés en France que les garçons et les filles du pays, enfants de la même race, physiquement frères et sœurs, se côtoient en temps de paix habillés selon la décence commune, et en toute sécurité se courtisent, se marient. Il en va tout autrement dès l'intrusion ne serait-ce que de dix éléments étrangers mus par la convoitise qui constatent avec étonnement leur impunité chez 20 millions de Français inoffensifs. C'est ici très précisément que la fameuse "pompe aspirante" entame ses premiers hoquets de succion. Elle va bientôt tourner à plein régime jusqu'à donner la tristement célèbre "invasion massive". Qui dit intrusion une fois dit intrusion mille fois par rameutage des frères, par répercussion en d'autres intrusions jusqu'à l'invasion massive avec prédation sur l'habitant. C'est pourquoi dès l'invasion commencée la technique de l'uniforme obligatoire est le minimal sursaut vitaliste.
Voilà le moment où les formes traditionnelles du mode de vie européen ont l'occasion de se muer en Intelligence Politique. La Forme de la vie quotidienne est un diaphragme qui peut s'ouvrir ou se rétracter. Quand la frontière tombe c'est la peau qui devient la frontière. D'où les meurtres, le métissage et les viols qui sont des formes d'invasion outrepassant la frontière de la peau. Or en cas d'invasion un patriote, un gardien de ses frères, l'esprit grégaire d'entraide, la Charité elle-même, commandent une rétractation, une prudence de la peau comme un factionnaire monte la garde d'une denrée chassée. Le voile n'est pas la tradition européenne (encore que!) mais refiler ses filles en pâture à des fils de pute n'est pas la tradition européenne non plus. Les européens libres devraient réévaluer où se place le sens de l'honneur en période d'invasion, pensée dialectique dont la plupart de nos identitaires n'ont pas la moindre idée or la France est de tous les pays civilisés celui qui subit chaque jour la plus vorace, la plus ravageuse, massive invasion. On ne vit pas envahi comme on vit souverain, cela tient de la plus élémentaire prudence. On ne s'habille pas pareil, on ne se déplace pas pareil.
1660 l'Europe catholique sombre dans le bibelot, l'angelot, le mobilier contre-réforme pendant que l'Amérique, sobre et vêtue de noir commence son essor. Que nous reste-t-il dans l'Eglise? La tonsure des moines du Barroux. Les Beaux chants dans les graves (Credo III, Gloria IX, Lauda Sion, Veni Sancte), la liturgie, l'étiquette, un restant d'ordre. Et pour l'avenir ? Le vêtement hiératique dont le scoutisme de notre jeunesse à fourni les standards intemporels nous aide à concevoir un vêtement laïc régi par les critères d'un uniforme.
Que notre vie soit un foutoir est un fait qui peut se réformer si nous nous appuyons sur une tradition stable, un ordonnancement harmonieux, la Crainte, la pureté génétique d'un peuple saint. Toutes choses dures et divines.
L'ismaëlisme est l'impression en creux des vices blancs: fanatisme contre neurasthénie, honneur par les femmes contre soumission par les femmes, cocufieur contre cocufié, prolifération contre stérilité, tranquillité contre anxiété, famille contre individu etc. L'ismaëlisme est un signe que personne ne veut lire. La réaction d'orgueil athée à l'ismaëlisme accentue les vices des Blancs : Eux pas d'alcool? Eh bah nous, alcoolisme, ah ah! Eux pas de porc? Eh bah nous, charcuterie industrielle nitritée, ah ah! Eux pas d'érotisme? Eh bah nous, filles ouvertes et pornographie, ah ah! Eux familles nombreuses? Eh bah nous stérilité, etc...
Revenons à nos chefs tratras. Ont-ils obtenu sur le plan de la diplomatie cléricale interne une seule victoire en 40 ans sur les modernos? Où sont les miracles promis? Où en est la "lame de fond", la reprise en main promise par les nouveaux contingents de "prêtres pour l'Eglise" des paroisses dépeuplées? Les pires saccageurs archéo-maçons ont tout détruit devant vous jour après jour et vous n'avez rien fait. Pas une seule fois vous n'avez organisé de rendez-vous surprise avec un "évêque" attendu en bas de son local ou seulement sa confrontation physique avec les fidèles écœurés, pour qu'il assume en pleine lumière. Toujours c'étaient ces "textes", ces "documents produits en réponse à", le détroussage par le prestige du baratin et des "procédures prévues" quand la conduite des brebis est une chose physique très concrète dans laquelle les points de droit canon ne servent qu'à occuper l'adversaire courbé sur des paperasses pendant qu'il se fait rafler tout le terrain, là devant lui, autour de lui. Le tratra docteur en droit canon était je m'en souviens tout enorgueilli d'être invité par l'histoire à se prononcer sur la validité de tel sous-synode, sur la teneur, sur la valeur hors-cathèdre de tel clin d'œil... Il était gras, et lent, il allait de plus en plus vers le gras et le lent, champion des bonnes manières à table, aux solennels dîners de très sérieux manieurs de dînette, il étonnait les convives grosses dames par sa vertu de patience, d'obéissance, il devait l'emporter c'était certain, au nom de l'avenir de l'intelligence, lui le très savant, très lent, très tratra prélat.
Ce tratra directeur d'école par exemple "ne voyait pas le problème" d'affubler son établissement d'une équipe pastorale entièrement africaine. En apparence Monsieur le Directeur restaurait hardiment l'enseignement chrétien exigeant, viril. En réalité la jeunesse européenne sous sa responsabilité apprenait donc en toute confiance à s'agenouiller devant des Noirs et à ouvrir la bouche, et monsieur le directeur n'y voyait nulle faute, ceci malgré 50 ans d'invasion, agression, colonisation, après 40 de métissage industriel sous propagande de guerre, après 30 ans de pornographie ciblée, après 30 ans de hagra sur les babtous, ceci en pleine affaire BLM, mais non aucun outrage ne pouvait éveiller de sursaut vitaliste chez ce membre sec de la confrérie des bûches.
Les jeunes filles se précipitent sur le voile à cause du néant catastrophique du "vêtement chretien". N'avez-vous pas compris, ne frequentez-vous donc jamais de filles pour déceler comme leur être est en demande inverse de ce que prescrit la propagande, en demande d'appartenance exclusive, de signes d'appartenance, d'un très simple code du vêtement, code de conduite du "savoir où aller" et que le libéral "fais comme tu veux" les précipite dans d'autres signes, d'autres appartenances? Négligences catastrophiques en période d'invasion, d'une massive invasion elle absolument conservatrice, fanatique, hiératique.
Ces bataillons qui ont gobé par consommation d'écran toutes les couleuvres vont venir affadir ce qui restait de pureté dans ce petit pèlerinage et brailler "chantent les sardines" sur des zones d'étalement urbain, entre les turbines à vent et les antennes. Il y a seulement 15 ans ces lieux étaient encore les "océans de blé qu'a décrit Charles Péguy, une Beauce pour laquelle ces ouvriers de la 25e heure n'ont aucune sensibilité. Ils ne savent pas, ils peuvent pas.
Le respect du culte mais le mépris du sacré. Habillés "venez comme vous êtes".
Le sens du combat c'est la continuité du peuple Français de souche. Il suppose l'honneur du peuple par la vertu des jeunes filles ; la catastrophe a commencé lorsque les FDS ont rejeté ces protections de leur identité par esprit de répulsion envers une pudeur traditionnelle soudain vendue comme expression d'arriération orientale.
La putification tranquille n'est pas européenne mais anti-européenne et mise en place comme telle, c'est du miel attracteur de mouches, excitateur d'agressions, pour le pillage d'un peuple qui ne comprend rien parce qu'il persiste à vivre envahi aussi libéralement que lorsqu'il vivait libre.
Nous aimons regarder les filles mais entre hommes civilisés, de la même race que les filles regardées, et sur un territoire libre.
Il y a davantage que l'honneur de la jeune fille dans sa pudeur vestimentaire c'est l'honneur de son nom de famille, et au-dessus encore se trouve l'honneur du Peuple c'est-à-dire la continuité incorrompue des générations du Peuple dans le temps.
"La paix c'est la tranquillité de l'ordre". La première condition de la minceur c'est la diète. La première condition de la paix c'est la juste hiérarchie. Dans la vraie tradition seuls quelques hommes ont la personnalité juridique, en général par mandat impératif sanctionné d'exil en cas de défaillance.
"La guerre spirituelle"! Propice trouvaille de nos comtesses de l'impossible qui ne tiennent pas la faim deux journées de suite. Et ce serait devant d'aussi grossiers mensonges vivants qu'il faudrait s'écraser ? Mais n'importe quelle Didia Clara, fille de patricien, vestale "païenne" vivait avec cent fois plus de vertu, de pudeur, de sens de l'honneur communautaire, de conscience de sa race que toutes les solennelles dondons de paroisse de France et d'Europe réunies.
Les jeunes Français chrétiens idéalistes, privés de leur alter-égale, se jettent dans le séminaire alors qu'il est beaucoup plus noble et sacrificiel par les temps qui courent de devenir père de famille de 12 enfants.
Et nous n'aimons pas la manière cléricale actuelle. Ce n'est pas la religiosité pépère du mythique abbé de Torcy, le réconfortant "ça va aller" du curé de campagne aguerri et taiseux très au courant de la condition humaine et notamment de la masculine. C'est l''estomac inquiet d'Ambricourt qui ne conçoit de pureté que par souffrance "rédemptrice" pendant que l'invasion décontractée se goberge sur ses scrupules, c'est le pathos efféminé, émotionnel des talas cocufiés, contractés, heurtés, remplis de bibelots. Insensibles aux notions de circulation fluide des ondes ils sont des aliénés de la Beauté, des étrangers aux choses de l'intuition. Ils font des sermons quand il faut faire des enfants.
Leurs prises de parole inopportunes tombent mal à propos, gaffes non sues de l'incongru faiblard "chef" qui ne sait pas gérer, qui veut gérer, qui veut être "respecté", l'homme efféminé. Amenuisé il a joué de sa faiblesse comme d'une dispense "à titre très exceptionnel" pour monter dans les grades puis une fois parvenu se conduit en tyran. Cela très analogue avec le modus operandi de certains envahisseurs, qui ne sont aujourd'hui forts que de notre pitié d'hier et se croient arrivés par eux-même. Ainsi du Trocadéro. Ainsi des terrains de foot.
Dernières choses. "Les Américains ceci, les Américains cela" disent-ils... l'Amérique ils n'y sont jamais allé. D'abord une seule paroisse américaine recèle dix fois plus de saints inconnus que tous nos crasseux palabreurs ceinture noire de casuistique. Et puis d'une manière éclatante, irréfutable, les catholiques américains sont les plus conséquents, les mieux éduqués, les mieux habillés, ils engendrent les familles les plus jolies, les plus proprettes, les plus capables de l'Eglise universelle. Cherchez-vous un modèle de société, une théologie du vêtement, une ingénierie sociale catholique qui ait connu quelques succès, une éducation du caractère qui sache former des Chrétiens forts et des Chrétiennes gracieuses ? Cherchez en Amérique, lieu des erreurs à éviter certes, mais aussi des exemples régénérants.
La religion est le véhicule d'un peuple à travers le temps. Un peuple a donc un intérêt à garder sa religion. Les vertus sont invisibles, les formes sont visibles, ensemble elles garantissent la solidité du véhicule à travers le temps. La religion relie la créature à son créateur et propose d'atteindre un idéal céleste par un idéal terrestre.
Les hommes peuvent bien se faire autant qu'ils le veulent des prédicateurs érudits, des exégètes, des docteurs, des "hommes de science", des savants, des frères prêcheurs... Les hommes peuvent s'agiter autant qu'ils le veulent, s'ils sont célibataires le véhicule n'avance pas. Seule l'union avec une femme permet au véhicule de traverser le temps, par la naissance des enfants. C'est cela qui a aiguillé certains théologiens vers une comparaison de la rencontre de l'homme et de Dieu avec la rencontre de la femme et de l'homme: en somme l'Alliance c'est le mariage monogame et monothéiste, la femme lorsqu'elle est la bonne c'est Dieu puisqu'elle vous choisit, vous sauve, qu'elle connaît vos secrets, que vous travaillez pour elle, qu'elle vous juge, et que par la maternité elle vous ressuscite.
Mais trêve d'hypothèses romantiques. En société multiculturelle, la "guerre des berceaux" est le vrai nom de la société, guerre dont l'issue repose sur l'ingénierie sociale que développe telle ou telle religion et l'on sait depuis les années 60 libanaises que la religion chrétienne entretient dans ce domaine une légèreté catastrophique : chasteté des hommes et liberté des femmes, indifférence dévorée par l'athéisme et le sunnisme, manipulée par le talmudisme, massacrée par la loge, la fécondité chrétienne parvenait bientôt à peine au renouvellement des générations. L'accès à la bourgeoisie qui suppose une prééminence de la carrière sur la famille achevait de tout détruire.
Les enfants appartiennent aux seuls pères. Ils sont portés par les mères, confiés aux mères, parfois élevés en partie par elles mais n'appartiennent ni à l'Etat ni à la mère, ni aux tribunaux, ni aux franc-maçons, ils appartiennent aux pères seuls jusqu'à leur majorité.
Nous aimons au suprême la beauté physique, l'excellence de la créature comme indice de l'excellence du créateur, nous savons la reconnaître certes, certes. Mais cette beauté physique est pour nous c'est à dire que monsieur Durand épouse mademoiselle Dupuis, qu'il n'y a pas de "marché ouvert" au tout-venant, pas de rencontre laissée au hasard de prédations externes et de libéral haussement d'épaules alors que c'est le point le plus capital d'une vie dans la chaîne des vies dans le temps. Et pour que monsieur Durand épouse à 18 ans mademoiselle Dupuis et lui fasse 20 enfants nous ne reculons devant aucun moyen mais les prenons tous, surtout ceux qui font sursauter nos "cathos" tranquilles : zéro écran, vêture de mormon pour les filles et régime de spartiate pour les garçons, habitat modèle Orania et enseignement modèle Martinerie multiplié par internat de Sarlat 1920. Garde absolue du langage, cours de dialectique, de langues étrangères, de lutte et de boxe, d'athlétisme, de bricolage et d'esthétique fonctionnelle. Les enfants aiment énormément l'éducation exigeante mais pour cela il faut les débarrasser de leurs catastrophiques mères. Nos plus beaux souvenirs de vacances enfant? Le scoutisme loin de tout sur les routes et par les champs, en France.
PS: Autre immense lacune de la cléricature en temps d'invasion: qu'est-ce que la race? Qu'est-ce que la race blanche surtout, et d'où vient-elle ? Le caractère récessif des gènes clairs est-il une théophanie des dogmes du péché originel et de l'immaculée conception? Quels sont les droits particuliers des Blancs notamment français au sein d'une Église qu'ils ont plus que largement contribué à bâtir ?
#Charles Péguy#Chartres#Pélérinage#Pilgrimage#Pilgrims#Laurent Ozon#Julien Langella#Patrick Buisson#Alain Soral#Zentropa#Infanteriesauvage#scout#scouts#Academia Christiana#France
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Sous France : Mémoire d'un quartier populaire
Mon cheminement photographique a débuté par des captures du quotidien dans un quartier populaire de France, celui de mon enfance, la Plaine d'Ozon : des scènes de vie, des sourires d'habitants, des enfants qui jouent, des bâtiments témoins d'une époque révolue. Chaque cliché est imprégné de souvenirs, teinté de nostalgie. Depuis les années 90, j'ai évolué dans le milieu associatif et l'éducation populaire, aux côtés de militants engagés contre le racisme et l'extrémisme. La photographie est ainsi devenue mon vecteur d'engagement, un moyen d'exprimer mon adhésion à ces combats. C'est à travers ma passion pour la photographie que j'ai trouvé une voix, une manière d'exprimer souvent l'inexprimable. Je n'ai jamais cherché à être un porte-parole, mais simplement à donner voix à mes convictions à travers mes images. Parfois, ma démarche a été mal comprise … Néanmoins, l'une de mes plus grandes fiertés reste la présence d'une de mes photos dans un manuel scolaire d'histoire géographie d'un collège. C'est très honorifique de savoir que cette photo permet de sensibiliser des collégiens à la lutte contre le racisme. Au cœur de mon travail, je mets aussi en lumière une jeunesse vibrante, multiculturelle, invitant chacun à s'élever, à respecter autrui, à valoriser ses talents. Après plus de 15 ans derrière l'objectif, je réalise que je suis devenu le témoin d'une histoire, celle d'un quartier en mouvement, en évolution. Ma passion demeure intacte, et j'espère continuer à contribuer à la mémoire collective de mon quartier, à sensibiliser, à inciter à l'action. Chaque image est une pierre apportée à l'édifice d'une société plus juste, plus inclusive.
📷 𝑀𝐾 | ©
☞ 𝑺𝒐𝒖𝒔-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆
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Destinée Enchantée
Chapitre 9 : Un secret bien gardé
Ce chapitre contient une scène 🔞 elle resta en route pour que veux que ceux qui ne ce sente pas a l’aise puisse ne pas la lire
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Dans la pénombre du caveau de Regina, l'atmosphère était chargée de mystère et d'anticipation. Les murs en pierre, humides et froids, étaient ornés de vieux grimoires et de potions mystérieuses, créant un décor à la fois intimidant et fascinant. Lucillia, une jeune femme aux yeux pétillants d'enthousiasme, se tenait au centre de la pièce, entourée d'une lueur vacillante émanant de bougies disposées sur une table en bois ancien.
Regina, avec une aura de puissance et de sagesse, observait Lucillia avec un mélange de fierté et de bienveillance. Elle s'approcha lentement, ses mouvements gracieux et sûrs, comme si chaque geste était empreint d'une intention profonde. La lumière dans la pièce dansait sur son visage, révélant des traits marqués par des années de luttes et de triomphes.
Alors que Regina commençait à expliquer les bases de la magie, Lucillia l'écoutait avec une attention soutenue, ses yeux brillants d'admiration. La jeune fille se tenait droite, ses mains légèrement tremblantes, trahissant son excitation mêlée à une certaine appréhension. Regina, consciente de l'importance de ce moment, prenait soin de créer un environnement où Lucillia se sentirait à l'aise pour poser des questions et explorer ses capacités.
Des notes de parfum d'herbes et de fleurs séchées flottaient dans l'air, ajoutant une dimension presque envoûtante à l'ambiance. Regina, avec un léger sourire, commençait à tracer des symboles dans l'air, des éclats de lumière scintillant autour d'eux, tandis que Lucillia, captivée, tentait de reproduire les gestes de sa mentor. Ce moment, empreint de magie et de connexion, marquait le début d'un apprentissage qui changerait à jamais le destin des deux femmes.
Regina s'approcha de la table, un grand vase en céramique dans les bras, décoré de motifs délicats et colorés qui captivaient le regard. Elle le déposa avec soin devant Lucillia, le bruit sourd du vase résonnant dans le silence de la pièce. Regina, avec un sourire encourageant, leva les yeux vers la jeune femme et déclara d'une voix ferme :
« Vas-y, détruis-le. »
Lucillia, les yeux écarquillés, se figea un instant. La panique se lisait sur son visage alors qu'elle dévisageait le vase, son cœur battant la chamade
. « Je ne peux pas ! » s'exclama-t-elle, sa voix trahissant son anxiété. « Je vais tout faire exploser ! »
Elle reculait légèrement, comme si l'idée même de briser l'objet lui semblait insurmontable.Regina, voyant l'effroi dans les yeux de Lucillia, s'approcha d'elle avec douceur. Elle posa ses mains sur les épaules de la jeune fille, lui offrant un ancrage dans ce moment de tourmente.
« Écoute-moi, Lucillia, » dit-elle d'une voix apaisante. « J'ai confiance en toi. Tu peux le faire. Tu as en toi la force nécessaire. »
Ses mots, empreints de conviction, résonnaient dans l'air, créant une bulle de soutien autour d'elles. Lucillia, inspirant profondément, commença à ressentir un mélange de détermination et d'appréhension. Elle plongea son regard dans celui de Regina, cherchant du réconfort dans la confiance que sa mentor lui témoignait un sourire d'encouragement sur les lèvres.
Lilia savais que Lucillia avait un rendez-vous avec Regina pour sa magie. La pensée lui provoqua un frisson d'irritation. Elle détestait ces séances,. Le visage de Regina, avec son sourire confiant et ses yeux pétillants d'excitation, lui revenait en mémoire, et cela ne faisait qu'accroître son agacement.
Décidée à ne pas laissez Lucillia avec Regina , Lilia se dirigea vers la cave de Regina. Les murs de la maison semblaient se resserrer autour d'elle alors qu'elle descendait les marches étroites, chaque pas résonnant dans le silence. L'air devenait plus frais, chargé d'une odeur terreuse et de mystère. Les ombres dans la cave dansaient autour d'elle, créant une atmosphère à la fois inquiétante et fascinante.
Arrivée au bas des marches, elle observa les étagères encombrées d'objets étranges, de fioles scintillantes et de livres anciens, témoins d'un savoir ancien. Lilia se sentait à la fois attirée et repoussée par cet endroit, un sanctuaire de magie qui lui était étranger.
Lilia observait la scène avec un mélange de frustration et d'inquiétude. Elle se tenait à l'écart, cachée derrière une porte entrouverte, les bras croisés et le visage légèrement plissé. Regina était là, derrière Lucillia, leurs corps trop proches à son goût. Les mains de Regina reposaient sur les épaules de Lucillia, une proximité qui lui semblait inappropriée.
Lucillia, dans un élan de confiance, fit exploser la vase, la céramique se brisant en mille morceaux qui scintillaient dans l'air. Un silence stupéfait suivit l'explosion, avant que Regina ne laisse échapper un éclat de rire.
« Oui ! C'est incroyable ! » s'exclama Regina, en serrant Lucillia dans ses bras.
Lilia sentit une vague de jalousie l'envahir en voyant la fierté sur le visage de Regina, son regard brillant comme si elle venait de découvrir un trésor. À cet instant précis, Lilia décida qu'elle ne pouvait plus rester silencieuse. Elle s'avança, le ton de sa voix tranchant à travers l'euphorie ambiante.
« Je vois que les cours se passent bien. »
Ses mots résonnèrent dans la pièce, interrompant le moment tendre entre les deux filles. Regina se tourna vers elle, surprise, tandis que Lucillia se dégageait doucement de l'étreinte de sa mentor, son visage affichant une expression de surprise.
Regina, les bras croisés et un sourire provocateur sur le visage, lança à Lilia : « Je ne me souviens pas vous avoir invitée dans mon caveau. » Son ton était à la fois sarcastique et défiant, comme si elle cherchait à provoquer une réaction.
Lilia, imperturbable, répondit d'un air calme : « Vous devriez fermer la porte alors. » Ses mots étaient simples mais pleins de sous-entendus, une manière de rappeler à Regina qu'elle n'était pas la seule à avoir son mot à dire.
Regina ouvrit la bouche pour répliquer, mais Lucillia, toujours attentive à l'ambiance, posa doucement sa main sur le bras de Regina. « Attends, Regina, » dit-elle d'une voix douce, « Toi, ça va, Lilia ? » Son regard était sincère, cherchant à apaiser les tensions.
Lilia, touchée par l'inquiétude de Lucillia, répondit : « Oui, je voulais voir comment tu t'en sortais. » Elle se força à sourire, tentant de masquer la tension qui l'habitait.
Regina, ne pouvant s'empêcher de s'immiscer dans la conversation, ajouta avec un ton un peu trop enjoué : « Elle s'en sort très bien. » Son regard était plein de malice, comme si elle voulait faire passer un message à Lilia.
Ignorant délibérément Regina, Lilia se tourna vers Lucillia avec un sourire chaleureux. « Je me disais que, maintenant que tu as fini avec Regina, on pourrait aller faire un tour en ville ? » proposa-t-elle, espérant changer l'atmosphère et offrir à Lucillia une échappatoire loin des tensions présentes.
Lucillia, les yeux brillants d'excitation à l'idée d'une sortie, acquiesça avec enthousiasme, tandis que Regina, observait la scène, les bras toujours croisés, consciente que son emprise sur Lucillia était en train de s'effriter.
☆○o。 。o○☆
Ivana était assise à une petite table en bois, la chaleur du chocolat chaud réchauffant ses mains, mais son esprit était ailleurs. Les murs du Ganny's, décorés de vieilles photos et de souvenirs, semblaient vibrer autour d'elle, mais elle ne les remarquait même pas. Ses pensées tourbillonnaient comme la crème qui flottait sur sa boisson, et un silence pesant s'était installé entre elle et Emma.
Emma, les yeux pétillants de curiosité, observa son amie avec une inquiétude croissante. Elle ne pouvait pas ignorer le fait qu'Ivana n'avait pas prononcé un mot depuis qu'elles étaient arrivées.
« Ivana, qu'est-ce qui se passe ? » demanda-t-elle, sa voix douce mais directe, brisant le silence.
Ivana leva lentement les yeux, surprise par la question. Elle cligna des yeux, comme si elle sortait d'un rêve. « Je... je ne sais pas, » murmura-t-elle, sa voix à peine audible. Elle jouait avec la cuillère dans sa tasse, ses pensées encore embrouillées.
Emma pencha la tête, l'inquiétude se lisant sur son visage. « Tu sembles vraiment préoccupée. Tu fais la même temps que Henry quand il ne veux pas le dire ce qui se passe. » Elle s'approcha un peu plus, cherchant à créer un espace sûr pour que son amie puisse s'ouvrir.
Ivana lâcha un rire franc, le son résonnant joyeusement dans le petit café, attirant quelques regards curieux des autres clients. Elle leva sa tasse de chocolat chaud à ses lèvres, savourant la chaleur qui se répandait dans son corps, avant de poser son regard sur Emma. Leurs yeux se croisèrent, et un moment de silence s'installa, chargé d'anticipation.
« Je suis sûr que tu vas te moquer de moi ou même que ça ne va pas t'intéresser, » dit-elle finalement, sa voix teintée d'une légère nervosité.
Emma, les sourcils froncés dans un mélange de surprise et de détermination, secoua la tête vigoureusement. « Détrompe-toi, ça m'intéresse vraiment, » répondit-elle, sa voix douce mais ferme, comme pour rassurer son amie.
Ivana, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres, se pencha un peu plus près de la table, comme si elle allait partager un secret. « Même si ça concerne Agatha ? » demanda-t-elle, l'excitation et l'appréhension se mêlant dans sa voix.
Emma, les sourcils froncés, observa Ivana avec une inquiétude grandissante. Elle pouvait sentir que quelque chose pesait lourd sur le cœur de son amie.
« Qu'est-ce qui se passe ? » demanda-t-elle, sa voix douce mais empreinte de préoccupation.
Ivana, évitant le regard d'Emma, baissa la tête, ses cheveux tombant en cascade autour de son visage. Elle chuchota, presque inaudible, « Agatha a failli m'embrasser. »
Emma, n'ayant pas bien entendu, pencha légèrement la tête, ses yeux s'agrandissant. « Quoi ? Répète, s'il te plaît. »
Après un moment d'hésitation, Ivana prit une profonde inspiration et, d'une voix plus claire mais tremblante, répondit, « Agatha a failli m'embrasser hier soir, mais ne l'a pas fait. Je ne comprends pas son comportement. »
Les mots d'Ivana flottaient dans l'air, et Emma sentit son cœur se serrer. Elle s'approcha un peu plus, cherchant à saisir toute l'ampleur de la situation.
« Qu'est-ce que tu veux dire par 'a failli' ? » demanda-t-elle, son ton encourageant, comme pour inciter Ivana à s'ouvrir davantage.
Ivana leva enfin les yeux, une lueur d'incertitude dans son regard. « C'était tellement inattendu... Je ne sais pas si elle ressent quelque chose pour moi ou si c'était juste un moment. »
Emma, touchée par la vulnérabilité de son amie, posa une main réconfortante sur le bras d'Ivana. « Peut-être qu'il faut lui en parler. Ça pourrait t'aider à comprendre ce qu'elle ressent vraiment. »
Ivana soupira, son regard se perdant dans le vide. « Oui, mais j'ai peur de ce qu'elle pourrait dire... et de ce que cela pourrait changer entre nous. C'était la meilleure amie de ma mère et .. fin c'est très compliqué. »
Le café, avec ses bruits de tasses et de conversations, semblait s'éclipser autour d'elles, laissant place à une bulle de tension et d'espoir, où chaque mot échangé pesait lourd de sens.
Emma, avec un sourire délicat qui illuminait son visage, prit une profonde inspiration avant de s'adresser à Ivana. « Rien n'est jamais facile, mais je sais que si vous continuez à fuir, ça ne va pas s'arranger. »
Ivana, touchée par les mots d'Emma, esquissa un sourire en retour. « Tu peux parler, madame. Je ne fais pas de premiers pas avec Crochet. »
Emma fronça les sourcils, un mélange de surprise et de désaccord dans son regard. « Non, ne nie pas ! » insista-t-elle, sa voix prenant un ton plus sérieux. « Vous vous regardez avec amour et tu ne bouges pas tes fesses ! »
Emma éclata de rire, la tension s'estompant légèrement. « Oh vraiment ? Tu crois que je suis la seule à ne pas agir ? Et toi, qu'est-ce que tu attends ? »
Ivana, amusée, secoua la tête. « Tu es incorrigible. »
Leurs rires résonnèrent dans l'air, créant une bulle de camaraderie et d'encouragement, alors qu'elles savaient toutes les deux que parfois, il fallait simplement oser pour avancer.
☆○o。 。o○☆
C'était le début de l'après-midi, le soleil brillait haut dans le ciel, projetant des ombres dansantes sur le sol du dojo. Ivana se tenait au centre, son cœur battant d'excitation et de nervosité. Il avait toujours rêvé de maîtriser l'art du combat à l'épée, et aujourd'hui, il avait enfin l'occasion de le faire. David,se tenait à quelques pas d'elle , une épée en main, son regard concentré et encourageant.
« Prête ? » demanda David, un sourire confiant sur le visage. « Souviens-toi, la clé est dans la posture. Tiens-toi droit et garde les yeux sur moi. »
Ivana hocha la tête, essayant de calmer les battements de son cœur. « Oui, je suis prête. Je vais essayer de ne pas te décevoir. »
« Tu ne peux pas me décevoir si tu donnes le meilleur de toi-même, » répondit David, se déplaçant lentement pour montrer le mouvement. « Regarde bien. »
David exécuta une série de mouvements fluides, l'épée dansant dans l'air avec grâce. Ivan observa attentivement, notant chaque détail, chaque geste. Il ressentait l'énergie et la passion que David mettait dans chaque coup.
« Maintenant, à ton tour ! » lança David, un éclat d'enthousiasme dans les yeux. « Essaie de reproduire ce que je viens de faire. »
Ivana prit une profonde inspiration, leva son épée et tenta de reproduire les mouvements. Au début, il était hésitant, ses gestes manquant de confiance. David l'encouragea avec des mots réconfortants.
« C'est bien, continue ! N'oublie pas de respirer et de te concentrer. »
Après plusieurs tentatives, Ivan commença à se sentir plus à l'aise. « Regarde, je pense que je commence à comprendre ! » s'exclama-t-il, un sourire éclatant sur son visage.
« Exactement ! » s'enthousiasma David. « Tu progresses rapidement. Je savais que tu avais du potentiel. »
Les deux continuèrent à s'entraîner, leurs rires et leurs encouragements résonnant dans l'air chaud de l'après-midi. David était ravi de partager ce moment avec Ivana, sachant que chaque coup d'épée rapprochait forgeait des souvenirs inoubliables.
Alors qu'Ivana et David continuaient leur entraînement, le soleil commençait à descendre lentement à l'horizon, projetant des teintes dorées sur le dojo. Les bruits des épées s'entrechoquant résonnaient dans l'air, accompagnés de rires et de cris d'encouragement. Ivana, concentrée sur ses mouvements, se tenait près de David, leurs corps se frôlant parfois dans l'excitation du combat.
Mary-Margarette, adossée à un mur, observait la scène avec une expression de mécontentement croissante. Son regard se posait sur David, admirant son aisance avec l'épée, mais une pointe de jalousie s'insinuait dans son cœur. Elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qui se passait entre lui et Ivana.
Lilia, perchée sur un banc à proximité, remarqua le changement d'expression sur le visage de Mary-Margarette. Elle s'approcha d'elle, prenant un ton apaisant.
« Mary-Margarette, pourquoi es-tu si tendue ? » demanda-t-elle doucement.
Mary-Margarette croisa les bras, son regard toujours fixé sur le duo. « Tu ne vois pas comment ils se regardent ? C'est... c'est trop proche, » répondit-elle, la frustration dans sa voix.
Lilia soupira, comprenant la jalousie qui rongeait son amie. « Écoute, peux-tu s'il te plaît arrêter d'être si jalouse pendant une seconde ? » dit-elle, posant une main sur l'épaule de Mary-Margarette. « Il n'y a rien entre eux. Ils s'entraînent juste. »
Mary-Margarette tourna la tête vers Lilia, ses yeux cherchant une assurance. « Mais... » commença-t-elle, mais Lilia l'interrompit.
« Regarde-les, » insista Lilia, désignant Ivana et David qui riaient ensemble après une série de mouvements. « David est là pour aider Ivana rien de plus. Tu dois leur faire confiance. »
Mary-Margarette soupira, son regard se radoucissant alors qu'elle observait à nouveau la scène. « Peut-être que tu as raison, » admit-elle, bien que des doutes subsistent dans son esprit.
« Bien sûr que j'ai raison, » répondit Lilia avec un sourire encourageant.
Avec un léger sourire, Mary-Margarette acquiesça mais n'en n'était pas certaine.
Mary-Margarette se tenait à l'écart, son cœur battant à tout rompre alors qu'elle observait la scène qui se déroulait devant elle. Les rayons du soleil couchant filtraient à travers les arbres, créant des ombres dansantes sur le sol, mais pour elle, tout cela semblait flou et lointain. Son regard était fixé sur David, qui riait avec Ivana, son sourire illuminant son visage. Elle pouvait presque sentir la chaleur de leur complicité, comme une flamme qui la brûlait de l'intérieur.
Chaque éclat de rire de David résonnait comme un coup de poignard dans son cœur, et elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qu'ils partageaient, ce qui lui échappait. Les yeux de David brillaient d'une admiration sincère pour Ivana, et Mary-Margarette se sentait comme une spectatrice d'une pièce de théâtre où elle n'avait pas de rôle. La jalousie s'insinuait en elle, comme une ombre sournoise, la rendant de plus en plus mal à l'aise.
Elle se mordait la lèvre inférieure, réfléchissant à une solution, à quelque chose qui pourrait attirer l'attention de David loin d'Ivana. Ses pensées tourbillonnaient, passant d'une idée à l'autre, mais aucune ne semblait assez bonne. Elle savait qu'elle devait agir, mais comment pouvait-elle rivaliser avec la lumière que semblait dégager Ivana ?
Mary-Margarette se leva, ses jambes tremblantes sous l'effet de l'anxiété. Elle devait trouver un moyen de briser cette connexion, de rétablir l'équilibre dans leur dynamique. Peut-être un petit commentaire, une blague, quelque chose qui pourrait faire rire David et le ramener vers elle. Alors qu'elle avançait, son esprit était en ébullition, mais son cœur savait qu'elle devait faire face à cette situation, coûte que coûte.
Mary-Margarette se tenait près du terrain d'entraînement, le soleil commençant à descendre à l'horizon, projetant une lumière dorée sur tout ce qui l'entourait. Elle regarda David, qui était en train de donner des instructions à Ivana, son visage illuminé par l'enthousiasme. Les rires résonnaient dans l'air, mais une inquiétude sourde grandissait en elle.
« Il se fait tard et nous devons préparer le repas pour Henry, » dit-elle d'une voix qui trahissait une légère nervosité, espérant attirer l'attention de David.
David se tourna vers elle, son sourire s'élargissant. « Oui, c'est vrai, tu as raison, Mary-Margarette. » Il jeta un dernier regard à Ivana, ses yeux pétillants de complicité. « Mais je dois dire qu'Ivana a vraiment bien progressé aujourd'hui. »
Mary-Margarette sentit une petite boule de jalousie se former dans son ventre, mais elle garda son calme. « Oui, elle est très douée, » répondit-elle en essayant de garder un ton neutre.
« Merci, David, » sourit Ivana, visiblement flattée par le compliment. « J'apprécie vraiment ton aide. »
David se tourna à nouveau vers Mary-Margarette, son expression devenant plus sérieuse. « Alors, qu'est-ce qu'on prépare pour Henry ce soir ? »
« Je pensais à quelque chose de simple, peut-être des pâtes avec une sauce tomate, » proposa-t-elle, cherchant à s'ancrer dans la réalité de leur tâche.
« Parfait, j'adore les pâtes, » répondit David en lui adressant un clin d'œil, avant de se tourner vers Ivana. « Et toi, tu devrais venir manger avec nous un soir. »
Mary-Margarette sentit une vague de frustration, mais elle se força à sourire. « Oui, ce serait sympa, » ajouta-t-elle rapidement.
Alors que David et Mary-Margarette s'éloignaient, elle ne pouvait s'empêcher de jeter un dernier coup d'œil à Ivana, qui semblait rayonnante sous les compliments de David.
« Allez, on y va, » dit-elle, déterminée à ne pas laisser ses émotions prendre le dessus.
☆○o。 。o○☆
Ivana venait de rentrer chez elle, le cœur encore lourd des tensions de la soirée passée avec David et Mary-Margarette. Le dîner avait été un véritable tableau de malaises, où les conversations forcées et les sourires crispés avaient dominé l'atmosphère. Heureusement, Henry avait été là, apportant une lueur de réconfort au milieu de cette ambiance pesante.
Une fois dans sa chambre, Ivana se laissa tomber sur le seuil, un soupir profond s'échappant de ses lèvres. Elle jeta sa veste sur la chaise près de la porte, le tissu tombant avec un bruit sourd, comme si même la veste ressentait le poids de la soirée. Ses épaules s'affaissèrent sous le fardeau des émotions accumulées, et elle ferma les yeux un instant, espérant que le silence de sa chambre apaiserait son esprit tourmenté.
Ivana avait une seule envie : se plonger sous les draps, loin des souvenirs de cette soirée désagréable.
Ivana commença à s'approcher de la salle de bains, ses pensées encore embrouillées par les événements de la soirée. Elle était à peine en train de poser sa main sur le poignet de la porte lorsque celle de sa chambre s'ouvrit brusquement. C'était Agatha, son regard perçant la pénombre de la pièce.
« C'est à cette heure-ci que tu rentres ? » demanda Agatha, sa voix teintée d'une pointe de jalousie. Elle se tenait là, les bras croisés, une expression mêlant inquiétude et reproche sur le visage.
Ivana regardait Agatha avec surprise, mais aussi colère. Comment osait-elle ? Ses yeux s'écarquillèrent, et un soupir s'échappa de ses lèvres, trahissant son agacement.
« Non mais je rêve ! Déjà, tu rentres sans autorisation et ensuite tu me fais des reproches ? » s'exclama-t-elle, la voix tremblante d'indignation.
Agatha, imperturbable, croisa les bras et haussait les épaules avec désinvolture. « Je me demandais juste où tu étais. Tu ne donnais aucune nouvelle, » répondit-elle, comme si cela justifiait son intrusion.
Ivana lâcha un rire nerveux, perplexe face à l'attitude d'Agatha. Elle se demandait ce qui se passait dans sa tête. « La bonne blague ! C'est toi qui m'embrasses presque pour au final repartir sans me donner aucune nouvelle, et là tu veux faire style que tu t'inquiètes ? » sa voix s'élevait, chaque mot chargé d'un mélange de frustration et de sarcasme.
« Je mangeais chez David et Mary-Margarette, si tu veux tout savoir. J'ai même passé la journée avec eux. Une objection ? » ajouta-t-elle, défiant Agatha du regard, attendant une réaction.
Le silence s'installa un instant, lourd de tension, alors qu'Agatha semblait chercher ses mots, réalisant peut-être l'absurdité de la situation.
Bien sûr qu'Agatha avait une objection. Elle n'aimait pas que David soit proche d'Ivana. Cette amitié la dérangeait profondément, et chaque fois qu'elle voyait Ivana rire avec lui, une jalousie sourde montait en elle. Agatha plongea son regard dans celui d'Ivana, ses yeux étincelants de détermination et d'une pointe de possessivité.
« Écoute, » commença-t-elle, sa voix se faisant plus ferme. « Je n'aime pas David. Je ne le sens pas. » Elle marqua une pause, cherchant à peser ses mots.
Elle s'avança légèrement, son ton devenant plus intense. « Je ne veux pas que quelqu'un s'approche de toi, pas comme ça. »
Ivana, piquée au vif, croisa les bras, défiant Agatha du regard. « Et pourquoi ça t'importe tant ? »
Ivana était blessée par le comportement d'Agatha. Chaque mot, chaque regard de cette femme lui faisait ressentir un vide immense, comme si elle était une fois de plus abandonnée. Son cœur s'était brisé, et la douleur se mêlait à une colère sourde. Elle s'approcha d'Agatha, son visage marqué par l'intensité de ses émotions.
« Tu n'as pas le droit de jouer avec mon cœur ! » s'écria-t-elle, sa voix tremblante de rage. « Tu n'as pas le droit d'être jalouse de David, qui, au passage, est marié ! » Elle marqua une pause, le souffle court, avant de continuer, « Et je m'en fous de lui ! Tu n'as d'ailleurs pas le droit d'être jalouse tout court ! »
Agatha, surprise par la force des mots d'Ivana, recula légèrement, mais son regard restait défiant. Ivana, ne pouvant plus supporter cette tension, ajouta d'une voix ferme :
« Sors de ma chambre ! »
Mais Agatha ne bougea pas, ses yeux se fixant sur Ivana avec une intensité qui trahissait son propre tourment. Voyant que sa demande n'avait pas d'effet, Ivana, hors d'elle, cria avec toute la force de son désespoir :
« Dégage de ma chambre, Harkness ! »
Agatha lâcha un grognement frustré, ses poings serrés à ses côtés. « Bon sens, ce que j'aimerais pouvoir te détester, » lâcha-t-elle, sa voix tremblante d'émotion.
Ivana, les yeux brillants de colère, répliqua avec un défi dans le regard : « Bas va y, fais-le ! Déteste-toi, de toute façon tu ne peux pas m'aimer, tu n'aimes personne sauf toi. »
Ses mots étaient tranchants, mais au fond, elle savait qu'elle ne pensait pas vraiment ce qu'elle disait. Elle était blessée, et cette douleur la poussait à blesser Agatha en retour.
Agatha, ne se laissant pas abattre, s'écria avec une intensité surprenante :
« Ba non, désolée, je ne peux pas te détester ! Détrompe-toi, je peux aimer, et toi, tu vois, je ne sais pas pourquoi, mais je t'aime. »
Ses yeux brillaient d'une passion ardente, et elle s'approcha d'Ivana, réduisant la distance entre elles.
« Je t'aime, et je déteste l'idée qu'une autre personne le fasse, » continua-t-elle, sa voix se brisant presque sous le poids de ses sentiments. « Je déteste quand Alice est près de toi, car elle est intéressée par toi. Je déteste quand David est près de toi, car je vois son regard qu'il pose sur ton magnifique corps. » Chaque mot était chargé d'une jalousie palpable, une vulnérabilité qu'Agatha ne pouvait plus cacher.
« Je déteste que tu puisses aimer une personne. Je déteste l'idée que tu sois loin de moi, et je détestais que tu sois la fille de Wanda ! » Elle marqua une pause, son souffle court, avant de conclure avec une intensité déchirante : « Je déteste tout ça parce que je t'aime. »
Agatha se tenait maintenant si près d'Ivana, leurs regards se croisant, une tension électrique flottant dans l'air. Les émotions tourbillonnaient autour d'elles, un mélange de colère, d'amour et de désir, alors qu'elles se faisaient face, prêtes à affronter la complexité de leurs sentiments.
Ivana se tenait là, paralysée par la surprise, ses pensées tourbillonnant dans son esprit. Les mots d'Agatha résonnaient encore en elle, comme une mélodie douce et troublante. Elle pouvait voir les yeux d'Agatha, brillants d'émotion, et elle savait que cette confession avait changé quelque chose entre elles. L'atmosphère était chargée de tension, chaque seconde s'étirant comme un élastique prêt à se rompre.
Agatha, figée dans l'instant, attendait avec une impatience palpable. Son cœur battait la chamade, chaque pulsation résonnant dans le silence qui les enveloppait. Elle avait mis son âme à nu, et maintenant, elle se tenait là, vulnérable, espérant que les sentiments qu'elle avait révélés seraient réciproques.
Ivana, quant à elle, était dans un tourbillon d'émotions. Elle avait envie de répondre, de dire quelque chose, mais les mots lui échappaient. La peur de briser ce moment parfait, de détruire l'intimité qu'elles partageaient, l'empêchait de parler. Elle se sentait comme si elle flottait entre deux mondes, celui de l'angoisse et celui de l'amour.
Finalement, poussée par une force irrésistible, elle se dirigea vers Agatha. Ses mains trouvèrent la nuque de la femme, une douceur et une tendresse dans son geste. Elle pouvait sentir la chaleur de la peau d'Agatha sous ses doigts, et avec un mélange de détermination et de douceur, elle l'attira vers elle. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser chargé de toutes les émotions qu'elles n'avaient pas pu exprimer. C'était un moment suspendu, où le monde extérieur s'évanouit, ne laissant que la connexion profonde entre elles, un lien qui promettait d'être aussi complexe que beau.
Les deux femmes s'embrassèrent avec une intensité palpable, une passion qui semblait transcender le temps et l'espace. Leurs lèvres se rencontrèrent avec une telle force qu'il était évident que rien d'autre n'importait à cet instant. Agatha, emportée par l'ardeur de ses sentiments, passa une main dans les cheveux d'Ivana, les agrippant avec une telle ferveur qu'on aurait cru que sa vie en dépendait. Ce geste était à la fois possessif et tendre, révélant l'urgence de ses émotions.
Dans cette danse de leurs baisers, Agatha plongea plus profondément, mordant doucement la lèvre inférieure d'Ivana, un geste à la fois joueur et désireux. Ce petit acte ne fit qu'intensifier l'étreinte, comme si chacune cherchait à se rapprocher encore plus, à fusionner dans une seule entité. Aucune d'elles ne voulait mettre fin à ce moment, et le baiser devint langoureux, se prolongeant dans une exploration douce et insatiable.
Agatha en profita pour rapprocher le corps d'Ivana au sien, leurs silhouettes se mêlant dans une étreinte chaleureuse. La chaleur de leurs corps se combinait, créant une atmosphère électrique, chargée de désir et de promesses non dites. Les battements de leur cœur résonnaient à l'unisson, et dans ce cocon d'intimité, elles se laissèrent emporter par leurs émotions, oubliant tout le reste. Le monde autour d'elles s'effaçait, ne laissant que l'intensité de leur connexion, une union de passion, d'amour et d'envie.
Agatha s'approcha lentement d'Ivana, un sourire espiègle sur les lèvres, ses yeux pétillants de désir. Elle glissa ses lèvres sur le cou d'Ivana, frôlant sa peau d'une douceur exquise. Le contact de ses lèvres chaudes sur la peau délicate d'Ivana provoqua un soupir de plaisir qui s'échappa des lèvres de cette dernière.
« Oh, Agatha... » murmura Ivana, sa voix tremblante d'anticipation.
Ivana pencha la tête en arrière, offrant son cou à Agatha, savourant chaque caresse. Le souffle chaud d'Agatha sur sa peau la faisait frémir, et elle ferma les yeux un instant, se laissant emporter par la sensation.
« Tu aimes ça, n'est-ce pas ? » chuchota Agatha, sa voix douce comme un velours, tandis qu'elle léchait délicatement la peau d'Ivana, accentuant chaque mouvement avec une tendresse ardente.
« Oui... ne t'arrête pas, » répondit Ivana, sa respiration s'accélérant alors qu'elle profitait de ce moment intime.
Soudain, Ivana, emportée par l'élan de la passion, commença à enlever les vêtements d'Agatha, ses doigts effleurant la peau douce et chaude.
Chaque fois qu'Ivana enlevait une épaisseur de vêtement à Agatha, ses doigts effleuraient délicatement la peau de la femme, créant une atmosphère chargée de tension. Les mouvements d'Ivana étaient lents, presque cérémonieux, révélant un corps aux courbes douces, tandis qu'Agatha la regardait avec une intensité admirative.
Soudain, Agatha, avec un sourire espiègle, poussa Ivana sur le lit, la surprise dans ses yeux. Elle commença alors à enlever les vêtements d'Ivana, ses mains glissant avec soin sur sa peau, chaque contact laissant une traînée de chaleur.
Agatha déposa des baisers tendres sur la poitrine d'Ivana, ses lèvres douces et chaudes suscitant des frissons. Elle descendit lentement vers son ventre, chaque baiser étant une promesse de passion. Ivana, perdue dans l'instant, se laissa aller à la sensation, son corps réagissant à chaque caresse, créant un lien intime entre elles.
Agatha laissa alors sa langue glisser lentement sur le ventre d'Ivana, savourant la douceur de sa peau. Un frisson parcourut le corps d'Ivana, tandis qu'Agatha remontait, ses lèvres effleurant délicatement le chemin vers son cou.
« Tu es si belle, » murmura Agatha, sa voix chaude et sensuelle, tandis qu'elle embrassait tendrement la clavicule d'Ivana.
Cette dernière frissonna à ce contact, un sourire complice se dessinant sur ses lèvres. Ivana, envoûtée par cette intimité, passa ses doigts sur le dos d'Agatha, traçant des motifs délicats.
Soudain, Ivana se retrouva au-dessus d'Agatha, plongeant son regard dans le sien. Elle commença à passer ses mains sur la poitrine d'Agatha, jouant avec douceur, ses doigts explorant chaque courbe.
Agatha laissa échapper un soupir de plaisir, ses yeux se fermant sous l'effet de la sensation. « Oui, continue... » murmura-t-elle, invitant Ivana à approfondir ce moment partagé.
Les deux femmes étaient enveloppées dans une bulle de chaleur et de désir, chaque geste renforçant le lien qui les unissait, tandis que le monde extérieur s'effaçait lentement, ne laissant place qu'à leur passion.
Ivana, avec une douceur infinie, laissa sa main glisser lentement vers l'intimité d'Agatha. Chaque mouvement était mesuré, empreint d'une tendresse qui faisait palpiter le cœur d'Agatha. Lorsqu'elle commença à caresser délicatement, une vague de sensations parcourut le corps d'Agatha, la faisant se mordre la lèvre inférieure, tentant de réprimer un soupir de plaisir qui menaçait d'échapper à ses lèvres.
Le regard d'Ivana était illuminé d'un grand sourire, un mélange de malice et de tendresse. Elle se pencha alors pour déposer des baisers doux et délicats sur la poitrine d'Agatha, chaque contact de ses lèvres envoyant des frissons le long de son corps. Agatha se laissa aller à ce moment, ses yeux se fermant sous l'effet de la chaleur et du plaisir, savourant chaque caresse et chaque baiser.
« Tu es incroyable, » murmura Ivana entre deux baisers, sa voix douce résonnant comme une mélodie
Agatha, perdue dans cette intimité, ne pouvait que sourire en retour, se laissant emporter par l'instant, par la magie de leur connexion.
Décris cette scène avec des beaucoup de détail et des dialogue : Plus ivana caresser l'intimité de Agatha plus Agatha gémisse. Ivana commença alors à jouer avec le clitoris de Agatha pour son plus grand plaisir. Agatha ferma les yeux profitant de ce moment pendant un long moment avant de venir chuchoter à l'oreille de Ivana
« Tu ne vas pas t'en sortir comme ça »
Agatha viens alors échanger les places. Elle viens alors mordiller l'oreille de Ivana tout en lui caressant délicatement le ventre. Agatha viens alors reprendre le dessus et monta sur Ivana, elle déposa des baiser sur son bas ventre tout en faisant frissonnais la jeune femme. Agatha viens alors déposer des baiser sur la cuisse de Ivana elle voulais la taquiner la rendre folle et sa fonctionner.
Les deux femmes se trouvèrent enveloppées dans une atmosphère de sérénité, la lumière tamisée de la chambre créant une ambiance chaleureuse. Leurs rires légers résonnaient dans l'air, comme une douce mélodie, tandis qu'elles se rapprochaient l'une de l'autre. Les draps en satin glissaient sur leur peau, ajoutant une touche de luxe à cette nuit tant attendue.
Le moment passa sans qu'elles s'en rendent compte, chaque geste, chaque regard renforçant leur connexion. Les murmures de leurs envies, enfin libérés, créaient une symphonie de plaisir et de complicité. Cette nuit parfaite, loin des attentes du monde extérieur, leur offrait un refuge où elles pouvaient s'abandonner à leurs sentiments, savourant chaque seconde de ce doux moment d'intimité.
☆○o。 。o○☆
Lucillia se tenait devant la boutique de Monsieur Gold, une petite échoppe nichée au cœur d'une rue pavée, entourée de bâtiments aux façades colorées. La lumière du soleil filtrée par les nuages créait des ombres dansantes sur le sol, et l'air était chargé de l'odeur des vieux livres et du bois poli. Elle observa la vitrine, où des objets anciens brillaient faiblement, attirant son regard curieux.
En poussant la porte, un léger carillon retentit, annonçant son arrivée. À l'intérieur, l'atmosphère était empreinte de mystère. Les murs étaient tapissés d'étagères en bois sombre, remplies de trésors oubliés : des horloges aux mécanismes complexes, des globes terrestres jaunis par le temps, et des cadres ornés de portraits d'antan. Chaque objet semblait raconter une histoire, et Lucillia se laissa emporter par cette ambiance envoûtante.
Elle déambula lentement entre les allées, ses doigts effleurant les surfaces rugueuses des antiquités. Son cœur battait à l'idée de trouver le cadeau parfait pour Lilia, celle qui avait toujours été là pour elle, la guide et la confidente. Au fond de la boutique, un éclat attira son attention. Un bracelet en argent délicatement travaillé, orné de petites pierres colorées, scintillait sous la lumière tamisée. Lucillia s'approcha, fascinée, imaginant déjà Lilia le portant, son sourire illuminant son visage. Ce geste serait une façon de lui montrer à quel point elle comptait pour elle, et elle savait que cet objet, chargé de sens, serait le parfait symbole.
Lucillia se dirigea vers le comptoir, le cœur battant d'excitation. Elle posa le bracelet délicat devant Monsieur Gold, un homme à la stature imposante, aux cheveux argentés et à la barbe bien taillée.
« Bonjour, Monsieur Gold, je voudrais payer ceci, s'il vous plaît, » dit-elle avec un sourire chaleureux.
Gold leva les yeux de son travail, son regard se posant sur le bijou. À cet instant, il sembla figé, ses yeux s'écarquillant en reconnaissant le collier que Lucillia portait autour de son cou.
« Ce collier... je le connais, » murmura-t-il, la voix tremblante d'émotion.
Lucillia, surprise par sa réaction, inclina légèrement la tête. « Vous le connaissez ? C'est un héritage de ma famille, je l'ai toujours eu. »
Gold, toujours sous le choc, hocha la tête et se mit à encaisser le paiement. Il lui rendit la monnaie, mais son regard restait rivé sur le collier.
« Tout va bien, Monsieur Gold ? » demanda Lucillia, un brin inquiet.
« Oui, oui, tout va bien, » répondit-il rapidement, mais Belle, qui observait la scène depuis l'arrière-boutique, avait remarqué l'étrange comportement de Gold.
Lorsque Lucillia quitta la boutique, Belle s'approcha de Gold, le regard interrogateur. « Qu'est-ce qui se passe ? Tu sembles... troublé. »
Gold soupira, son regard se perdant dans le vide. « Ce collier, je l'ai fait pour ma défunte fille, » avoua-t-il enfin, une tristesse palpable dans sa voix.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre.J'espère qu'il vous à plut
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Le monde actuel est un immense bordel...
Chaque fois que viennent sous ma plume (qui est un clavier) un gros mot ou une expression vulgaire, j'en demande pardon : mon amour pour notre belle langue (ce qu'elle était, avant que le progressisme ne lui impose une chute qui risque d'être finale !) n'aimait pas trop ces vocabulaires provenant de registres dits ''familiers''. Cependant, je dois vous avouer que les excuses que je vous fais sont de moins en moins sincères : le monde, tel que je le vois évoluer autour de moi, ressemble à ''un méga-bordel''... et ce n'est pas une bonne nouvelle.
Avant même la réélection quasi-triomphale de Trump, les ''migrations de masse'', la guerre en Ukraine et les événements tragiques du 7 octobre avaient fait, au pied de la lettre, basculer le siècle, dans un temps incroyablement court à l'échelle de l'Histoire. Mais contrairement à tout ce que tout le monde attendait, les cauchemars liés à notre folie de ''mondialisation'' ont laissé la place non pas à la félicité universelle espérée par les naïfs et les cons, mais à une juxtaposition de conflits locaux, qui semble sans fin et ne demandent qu'à s'étendre. Le rêve absurde d'une ''mondialisation heureuse'' a fait long feu... et le fait que de plus en plus de gens s'en rendent compte est la seule bonne nouvelle du moment.
Les stratèges du genre ''La Voix de son maître'' nous affirment que la nouvelle problématique se résumerait à une confrontation ou à une sorte de querelle à mort (dont ils oublient de dire qu'elle est factice, car fabriquée par eux et leurs maîtres à ne pas penser), entre les démocraties libérales et des puissances autoritaires, dans un ''remake'' de la lutte millénaire entre le Bien (eux) et le Mal (les autres). Une telle représentation leur facilite certainement la vie... mais elle n'apporte rien à la nôtre, puisque nos démocraties n'en sont plus (il s'en faut de beaucoup !), et que les soi-disant ''autocraties'' semblent se multiplier à chaque vote... démocratique qui a lieu, un peu partout.
Ce qui ne peut plus faire de doute, c'est que les solutions qui nous ont été présentées depuis 30 ou 40 ans ont toutes fait long feu (mais les irresponsables continuent à raconter qu'elles seraient les seules --ce qui est faux, bien sûr, comme tout le reste de leur discours pourri) : après 3 ou 4 décennies de soumission à ces idées absurdes, nous nous réveillons brutalement devant une montée des tensions internationales qui réveille dans nos mémoires les pires heures du XX ème siècle --pourtant riche en folies. Après l'onirique ''plus jamais ça'' des européistes, nous revoilà face à des conflits dits ''de haute intensité'' à notre porte... et ce n'est pas une bonne nouvelle, non plus : la fameuse horloge dite ''de l'Apocalypse'' ne nous laisserait plus que 90 secondes avant le déclenchement d'une conflagration nucléaire : il serait, selon ses inventeurs, 23h 58Mn 30s. Et à minuit, tout pète...
Et en plus des pénuries de matières premières et de graves problèmes d'alimentation ressuscitant les grandes famines d'antan, la course à l'énergie et aux énergies risque de nous entraîner vers un ''pire'', au moment où même les ''données'' et les informations, la science et ses découvertes, l'eau, le sable, la terre, l'air et l'atmosphère... se transforment, presqu'en même temps, en sujets de discorde... dans un monde où ''discorde'' est devenu synonyme de ''tuerie au couteau''...
De plus en plus souvent, la force ignore le Droit, la violence oublie les règles et les institutions, tout conflit devient existentiel, le moindre objet contondant devient une arme qui va servir à tuer, un stupide ''Moi, je...'' remplace toute autorité, toute morale et toute moralité, les groupes de terroristes dament le pion aux Etats les plus structurés et les mieux armés où le terrorisme et le trafic de drogues sales s'imposent comme des modes de vie, de nouvelles références de ''gagne pain'' (en France seule, 200 000 personnes vivent sur ou du trafic de drogues. C'est énorme !)... La police n'est plus considérée comme ''le bras armé de la Justice'' (qui s'est noyée corps et âmes en ''se pacsant'' avec les idéologies les plus indéfendables), mais comme une bande rivale avec qui on va en découdre...
Le vieil ''ordre du monde'' dont les lignes avaient été tracées en 1945 par les vainqueurs (maintenant en pleine débâcle !) de la Guerre de 39-45, prend l'eau de partout, craque, se fissure et n'est même plus contesté : il est, simplement, ignoré. Il n'existe plus. La civilisation occidentale, qui en était le grand, le seul inspirateur, se débat en pleine décadence, entre un effondrement démographique jamais vu depuis la fin des royaumes amérindiens au XVI ème siècle, une catastrophe économique d'une dimension inenvisageable il y a seulement cinq ans, et une paralysie de toutes ses institutions dont les responsables sont l'aveuglement --et, osons le dire, la bêtise incommensurable-- des dirigeants que nous nous sommes librement choisis --tous incultes, pervers, masochistes, immatures, et, pour beaucoup, corrompus et intrinsèquement malfaisants !
Le résultat était presque prévisible, au fur et à mesure que se découvrait une telle accumulation de fautes impardonnables, d'erreurs ''XXL'' dans tous les domaines, et de persistance dans l'absurdité. C'est une poussée suicidaire ne peut déboucher sur rien qui ne soit effroyable, terrifiant, et mortel. L'Occident, cet ancien phare de la pensée, qui a, pratiquement seul, illuminé le monde entier de sa puissance et de ses réussites, risque de disparaître tel que nous l'avons connu, sans rien pour le remplacer... et les fous s'en frottent les mains. Un miracle peut-il encore nous sauver ? Si ''Oui'', on le cherche, on l'espère, mais il n'est vraiment pas en vue...
H-Cl.
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Coucou ! ☕️ sur l'Atelier des Sorciers ? Merci beaucoup d'avance !
Send me a ☕️ and a topic and i’ll talk about how i feel about it
Coucou, merci pour la question :)
Déjà, je pense qu'il faudrait que je relise les volumes précédents. Le premier est sorti en...2018 ouch. Et au rythme de plus ou moins une sortie par an, ça fera du bien de se rafraîchir la mémoire. D'autant que je n'ai pas encore lu le dernier sorti.
S'il y a quelque chose que j'adore dans ce manga c'est la magie. Le système et les utilisations des sortilèges sont super créatifs ! Coco m'a plu dès le début avec son côté volontaire et plein de ressources. J'aime aussi beaucoup les autres apprenties de Kieffrey. Je trouve ça super de voir cette palette de personnages féminins avec chacune leurs forces et leurs personnalités. (Le vers-pinceau est adorable).
Un passage que j'ai beaucoup aimé est celui où le voyeur est puni par les membres de la milice magique. J'apprécie que ce soit traité comme quelque chose de répréhensible et pas à la blague comme "haha Tortue Géniale c'est un pervers et il harcèle les femmes mais ça va il est gentil hoho".
(Et comme par hasard beaucoup de gens ne veulent pas entendre que les mangas de leur enfance sont sexistes, kilucru. Faut vraiment que les gens comprennent qu'on peut aimer quelque chose et en voir les défauts. Et surtout apprendre à ne pas prendre le fait de pointer les dits défauts comme une attaque personnelle).
Là on voit clairement un progrès, surtout que le Japon a encore pas mal de choses à rattraper en matière de lutte contre les violences sexuelles.
Si je voulais pinailler, je dirais que je trouve dommage que toutes les figures d'autorité soient des hommes. Les filles sont des élèves, c'est cool, mais ce serait bien d'avoir aussi des mentor féminines, des femmes plus âgées et respectées.
Mais bref, c'est un de mes mangas favoris et je recommande à tout le monde de le lire pour le dessin, les personnages et l'univers. (Par contre vous pouvez vous abstenir de lire Divines, l'autre manga de Kamome Shirahama. Sauf si vous aimez l'humour gras au point d'être indigeste).
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🎶 𝗩𝗼𝗶𝘅 𝗲́𝗰𝗹𝗶𝗽𝘀𝗲́𝗲𝘀 - 𝗔̀ 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝘂𝘀𝗶𝗰𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗺𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗻𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹'𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 🎵
🎹 𝗔𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱’𝗵𝘂𝗶 : 𝗕𝗲𝘀𝘀𝗶𝗲 𝗝𝗼𝗻𝗲𝘀 (𝟭𝟵𝟬𝟮-𝟭𝟵𝟴𝟰) 🌱
Sous le ciel géorgien du siècle dernier, Bessie Jones, héritière des chants d'esclaves, se fit gardienne des psaumes de liberté, alors que l'Amérique oscillait entre prohibition et libération. Élevée au rythme des negro spirituals de son grand-père, elle sut dès l'enfance que chaque mélodie raconte une histoire, que chaque parole chante une mémoire. Le destin la fit mère et veuve prématurément, sculptant sa force et sa résilience. Sur les rivages de Saint-Simon, elle tissa des liens avec la Spiritual Singers Society, et plus tard, avec les Georgia Sea Island Singers, elle devint messagère des îles, éclaireuse culturelle, semant les graines des traditions afro-américaines. Sa voix, telle une passerelle entre passé et présent, s'élevait, défiant le silence imposé à ses ancêtres. Elle traversa les États-Unis, son art en étendard, prêchant par l'exemple que la musique est un pont vers l'égalité. Compagne de lutte de Martin Luther King, elle marcha, chantant pour l'espérance. Bessie, par ses gospels, fit plus que divertir ; elle réveilla les consciences. Son livre « Step It Down », et ses albums, sont les témoignages de sa vie. En mourant, Bessie Jones léguait au monde bien plus que des mélodies, elle offrait un héritage de résilience, un chant éternel de justice et d'unité.
🔗 Pour en savoir plus : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bessie_Jones
🎧 Écouter : https://youtu.be/AfbiIZ_Kh34?si=i5CgX1D4uUvtfo_e
📸 Photo : Bessie Jones chez elle en 1975.
#BessieJones#Gospel#FolkMusic#CulturalHeritage#GeorgiaSeaIslandSingers#CivilRights#HistoireDeLaMusique#FemmesDansLaMusique
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La dépression chez les étudiants : Un mal silencieux qui gangrène les campus camerounais
Derrière l'image vibrante et dynamique de la vie estudiantine au Cameroun se cache une réalité sombre et souvent ignorée : la dépression. Ce trouble mental, qui touche de plus en plus d'étudiants, impacte négativement leur bien-être et leur performance académique.
Facteurs de risque
Les facteurs favorisant la dépression chez les étudiants camerounais sont multiples et complexes. Parmi les plus importants, on peut citer :
Le stress académique: La pression liée aux examens, aux résultats et à l'insertion professionnelle est une source majeure de stress pour les étudiants.
Les difficultés financières: Le manque de ressources financières peut engendrer des soucis quotidiens et un sentiment d'insécurité.
L'isolement social: L'éloignement de la famille et des amis, l'adaptation à un nouvel environnement et la difficulté à se faire de nouveaux amis peuvent contribuer à un sentiment de solitude.
Le manque de soutien: L'absence d'un système de soutien adéquat, que ce soit de la part de la famille, des amis ou des institutions universitaires, peut aggraver les symptômes de la dépression.
Symptômes et manifestations
La dépression ne se manifeste pas toujours de manière flagrante. Il est important de connaître les symptômes les plus courants afin de pouvoir identifier les étudiants en souffrance et leur proposer une aide adéquate. Parmi ces symptômes, on peut citer :
Tristesse persistante
Perte de motivation et d'intérêt pour les activités habituellement appréciées
Troubles du sommeil et de l'appétit
Difficultés de concentration et de mémoire
Sentiment de culpabilité et d'inutilité
Pensées suicidaires
Conséquences et impact
La dépression chez les étudiants peut avoir des conséquences graves sur leur vie personnelle, académique et professionnelle. Elle peut les conduire à :
Abandonner leurs études
Avoir des résultats scolaires médiocres
Se replier sur eux-mêmes et s'isoler socialement
Développer des comportements à risque
Attenter à leur vie
Lutter contre la dépression : Un enjeu collectif
La lutte contre la dépression chez les étudiants nécessite une mobilisation collective. Voici quelques pistes d'action :
Mettre en place des programmes de sensibilisation et de formation pour informer les étudiants sur la dépression et ses symptômes.
Créer des cellules d'écoute et de soutien psychologique accessibles et confidentielles sur les campus.
Former le personnel universitaire à la détection des signes de dépression et à l'orientation des étudiants en souffrance.
Encourager l'entraide et la solidarité entre étudiants.
Améliorer les conditions de vie et d'études des étudiants.
Conclusion
La dépression est un problème de santé publique qui touche de plein fouet les étudiants camerounais. Il est crucial de briser le silence et de mettre en place des mesures concrètes pour soutenir les étudiants en souffrance et leur permettre de s'épanouir pleinement.
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